Commentaire d'oeuvre: le recueil La Ronde et autres faits divers de LE CLEZIO

La Ronde récit de LE CLEZIO, commence par une description ordinaire, l’auteur utilise deux mondes différents l’un animé, l’un complètement mort. Cette répartition de monde engage peu à peu le récit à une opposition, à s’engager vers le surnaturel. Il fait donc partie du registre fantastique.

On a tout d’abord place à l’installation de l’histoire (l. 1 à 113) qui fait part aux questions principale ; qui ; quoi ; où et quand ? (l.1 à 34) , à la description des deux jeunes filles ( l.9 à 19).Deuxièmement les raisons de l’épreuve ( l.114 à 266) qui fait part au rendez vous et aux conditions avant l’épreuve. Troisièmement, la ronde, l’épreuve ! (l.267 à 403) qui fait part de la ronde du camion et celle des filles et de la dame en bleue. Finalement, à la catastrophe (l.403 à 424), mort de Martine.

Les personnages principaux sont ; Martine, Titi et la dame en bleue. Martine à 17 ans dans 1 mois , c’est une jeune fille très jolie qui à des soucis avec les garçons & qui manque de caractère. Elle est vraiment amie depuis surtout 1 an avec Titi. La seule relation qu’elle a avec la dame bleue et le contacte lorsqu’elle lui vole le sac à main. Dans le déroulement de l’histoire elle a comme un rôle de victime. Titi, la plus âgée des deux a un look assez excentrique avec ses cheveux rouges et son caractère, elle n’est pas très jolie, mais a de beaux yeux gris/vert. C’est une fille protectrice surtout envers Martine .La dame en bleue, habillée en bleue, un chemisier blanc, des chaussures noires et un sac à main noir (qui a une importance dans le récit).Elle a l’aire complètement endormi, des yeux enfoncés dans ses orbites avec le visage tout rouge .Elle a aucune relation avec les autres personnes à part en temps que victime du vol de son sac à main.

On remarque différents thèmes principaux comme la vie d’adolescent, la jeunesse (l.6 à 8), l’amitié (l.64 à 68) et (l.71 à 76) et le retour de flemme (l.403 à 424 ).

Comme nous l’avions vu en cours le fantastique est lié à l’imagination, dans ce récit on commence par un univers normal qui se dégrade par l’installation du surnaturel, on a donc un effet de peur et d’angoisse. On fait part aussi d’une focalisation interne et une insistance sur les perceptions des choses. Il y a une métamorphose de l’environnement, de monde, l’attitude des personnages tout change. L’auteur n’a pas cherché des héros mais des personnages faibles et engourdis. A la fin l’auteur laisse le suspense, le lecteur n’a pas plus de détails ce qui alimente la ronde.

Ce récit contient un large vocabulaire,, voici mes recherches :

Le zénith : Point où la verticale d’un lieu perce la sphère céleste au-dessus de l’horizon.

Torpeur : Etat physique ou psychique chez quelqu'un dont ses activités sont engourdies.

Emburqué : cacher.

Stupeur : Engourdissement du corps et de l’esprit qui s’accompagnent d’indifférence vis-à-vis du monde extérieur.

Une cochère : Une porte grande et haute.

Insignifience : peu de conscience.

Impassible : qui montre aucune émotion.

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