LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Commentaire composée Phèdre

Commentaire de texte : Commentaire composée Phèdre. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Octobre 2021  •  Commentaire de texte  •  1 057 Mots (5 Pages)  •  219 Vues

Page 1 sur 5

Commentaire composée

Dans ce texte, Jean Racine, nous replonge dans l'univers de la mythologie et dans la tragédie classique, tous les personnages, n'étant pas des dieux, ne sont pas maitres de leur destin, Dans la mythologie grecque, il y a tout le temps, des tabous, des secrets entre personnages inavoués. Dans la plupart de ces histoires, le personnage principal est soumis à un dilemme. Dans Phèdre, celle-ci, doit faire face à un gros dilemme, elle est responsable d'un inceste sur son beau-fils, Hippolyte, et doit choisir entre lui et son père, son mari Thésée. Dans cette histoire, nous faisons face à un amour interdit, et impossible. Phèdre étant déchirée entre le moral (le lien avec son mari, à qui elle doit fidélité), et sa passion dévorante, pour Hippolyte. Dans cette histoire, Phèdre et soumise à ce destin, et ne peux rien faire pour l'éviter, celui-ci étant causer par Vénus, qui comptait se venger de Minos. Dans la mythologie, les personnages, ne sont que des objets pour les dieux, qui s'amusent, et contemplent le spectacle. C'est donc un amour imposé. La passion est ici un fardeau, que l'on est obligé de subir et de porté. Cette pièce, fut écrite par Jean Racine, en 1677, elle porte le nom de Phèdre. Ce commentaire composé, est organisé en deux grandes parties, qui se nomment: Un amour destructeur, et Un personnage pris au piège.

Dans cette scène, de l'Acte I, scène 3, Phèdre avoue son amour incestueux envers Hippolyte à Oenone. Ici, l'amour est montré comme une maladie, (V.1) « Mon mal vient de plus loin » (V.6) « un trouble s'éleva dans mon âme éperdue » (V.15) « d'un incurable amour remèdes impuissants », il y a là une métaphore filée, mon mal vient de plus loin, son cœur lui fait mal, mal d'amour, Ici, le mal de Phèdre, est montré comme une douleur d'amour, qu'elle ressent physiquement mais pas mentalement, celui-ci lui étant imposé, la notion de douleur, n'est pas du tout positive, Phèdre souffre de cette obligation d'aimer Hippolyte, elle ne souffre pas d'amour sincère, mais de ne pas avoir le choix. Ce qui est intéressent, c'est que Phèdre, cherche à

lutter à l'intérieur de son corps, c'est comme si elle ne l'habitait plus, les dieux en ont pris possession et l'on empoisonnait d'une passion mortelle. es le texte, Phèdre le dit elle-même, (V.8) « Je sentis mon corps, et transir et brûler, » Phèdre décrit ici les symptômes d'une maladie mortelle (fièvre, symptômes physiques). Elle est ici spectatrice de son mal, et est impuissante face à ce qui lui arrive.

Du début à la fin, Phèdre se retrouve face à ce qui lui arrive, lors de la rencontre entre elle et Hippolyte, elle ne vit pas cette amour comme actrice, en réagissant telle, elle subit l'action, (V.4) « Athènes me montra mon superbe ennemi », Phèdre, est consciente, que tel et son destin. Elle est ici la proie de Vénus, qu'elle hais plus que tous, « Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, d'un sang qu'elle poursuit, tourments inévitables », ici est montré la supériorité des dieux, Phèdre étant tenue par une puissante déesse supérieure, (V.38) « Ma blessure trop vite aussitôt a saigné », elle est attachées et prisonnière

...

Télécharger au format  txt (6.2 Kb)   pdf (41.6 Kb)   docx (9.3 Kb)  
Voir 4 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com