Commentaire composé Montesquieux

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        Nous allons étudier un texte de l’écrivain, philosophe Montesquieu de naissance Charles de Secondat qui est né le 18 janvier 1689 et est mort le 10 février 1755 à Paris. Dans son livre les Lettres persanes roman épistolaire qu’il publia anonymement (bien que tout le monde sache que ce soit lui) il expose le regard des persans sur la société française, sur un ton satirique et humoristique. Cet œuvre lui valut un très grand succès, car sa plume plaisait. L’Église catholique romaine interdit de nombreux de ses ouvrages dont De l’Esprit des lois en 1751.

        L’extrait de texte que nous allons étudier provient De l’Esprit des Lois publié en 1748 qui est traité de la théorie politique, cet œuvre a valu quatorze ans de travail. Ce traité résume les lois de tous les peuples. Cet ouvrage regroupe trois sortes de lois qui sont : le droit des gens ; le droit politique ; le droit civil c’est un texte argumentatif.

Notre extrait de texte s’intitule : De l’esclavage des Nègres.

        L’idée général de ce texte est d’énoncer les lois qui permette aux personnes non nègres d’avoir des nègres comme esclave.

        Nous pouvons donc nous comme question : Le texte De l’esclavage des nègres est-il un texte pour ou contre l’esclavage ?

        Pour répondre à cette question nous verrons en premier lieux la défense pour l’esclavage et en second lieux nous verrons la contestation de l’esclavage.

        Ce texte présente des conditions on le voit grâce a la présence de « si ». « Le sucre serait trop cher, si l’on ne faisait pas travailler la plante produite par les esclaves » l-5 c’est un argument qui montre que l’esclave est une source d’économie car ils les utilisent pour récolter le sucre autrement le coûts serait élevé. Les « si » peuvent aussi d’écrire une intensité « Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête ; et ils ont le nez si écrasé, qu'il est presque impossible de les plaindre. » l-6-7 ici Montesquieu caricature les nègres en plus d’intensifier leur stéréotype d’avoir le nez écrasé il montre que les nègres ne lui ressemblent pas. L’humanité devrait nous pousser à les plaindre comme dit dans l’extrait mais le mot presque fiat de cette phrase une antiphrase qui donc exprime le contraire.  « Il est si naturel de penser que c'est la couleur qui constitue l'essence de l'humanité » dans cet extrait on voit bien que l’écrivain montre que c’est selon la couleur de peau que nous sommes jugés qui encore montre un écart entre lui et les esclaves. « On peut juger de la couleur de la peau par celle des cheveux, qui chez les Égyptiens, les meilleurs philosophes du monde, était d'une si grande conséquence, qu'ils faisaient mourir tous les hommes roux qui leur tombaient entre les mains. » l-13-15 .Le « on » prend en compte les égyptiens, l’écrivains ainsi que ses congénères, dans cet extrait on a une métaphore entre « les égyptiens » et « les meilleurs philosophes du monde ». On discerne que Montesquieu est donc en accord avec les égyptiens comme si les nègres n’étaient pas légitimes de la vie. Il considère que les esclaves ne sont même pas humains, que ça ne peut être concevable « Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes » l-18

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