Commentaire Du poème Vers La Ville De Jules Supervielle

Lors de la première moitié du XXème, le mouvement du surréalisme était le mouvement prédominant, mais Jules Suepervielle né en le 16 janvier 1884 à Montevideo en Uraguay et mort le 17 mai 1960 à Paris, s'est tenu à l'écart de ce mouvement. Il écrivait des poèmes plus humains afin de renouer avec le monde, il rejetait la poésie automatique ainsi que l'absolutisme de l'inconscient. "Vers la ville" est un poème du recueil Débarcadères paru en 1922, raconte la résistance d'une verdure dans tous les milieux naturels. Ainsi, nous verrons par quels moyens, le poète fait-il ressortir l'idée d'une verdure naturel. Pour répondre à cette problématique, nous étudierons la rencontre avec la ville et la verdure et enfin la résistance de la verdure par rapport à la mer.

Tout d'abord, nous voyons qu'il y a une rencontre avec la ville et la verdure. En effet, il y a une rencontre imminente entre la ville et la verdure. L'allongement des vers montre l’annonce de la rencontre. Le titre du poème ainsi que le premiers vers "vers la ville" montre qu'on s'attend à cette rencontre. De plus, nous retrouvons une descente de la montagne à la mer. A la lecture de ce début de poème, nous nous attendons à une rencontre imminente.

De plus, la verdure rencontre des obstacles pendant cette rencontre. En effet, le groupe nominal "grave rencontre" nous montre une rencontre dévastatrice pour la verdure. L'adverbe "puis" au vers 4 annonce cette rencontre catastrophique, au vers 3, nous retrouvons aussi les champs lexicaux de la verdure ainsi que de la ville qui nous montre la rencontre entre ces deux éléments. Nous retrouvons aussi le champs sémantique de la rencontre nous montre aussi cette occasion. Le vers 5 est le vers où il y a le plus de mètre qui révèle là où il y a le plus de suspens. Nous voyons grâce à cela les obstacles rencontrés par la verdure.

Enfin, nous retrouvons une verdure omniprésente, en effet, le nom commun "dense" montre la présence de cette verdure. Le vers " ne laissant pénétrer les arbres que sur deux rangs vers les places" nous indique l'image de la place du quartier ce qui annonce une résistance difficile de la verdure mais elle arrive quand même à résister. Le groupe nominal " deux rang" nous expose que malgré la difficulté de la verdure à résister, elle y arrive quand même, "faisceaux" est un signe d'espoir et pour amplifier ce signe, nous retrouvons une coupure entre le vers 7 et 8. Dans ce poème, le poète nous montre la rencontre entre la ville et la verdure qui est imminente et semé d'obstacle mais malgré tout la verdure semble plus forte. Nous pouvons dire que cela annonce une suite du récit de la verdure.

En effet, nous remarquons qu'il y a une résistance de la verdure par rapport à la mer. En effet, nous pouvons remarquer la puissance de la mer avec le camps lexical de la mer qui exprime une autre rencontre de la verdure. La métaphore "lames frémissantes" traduit la puissance de la confrontation qui sera difficile pour la verdure face à la mer. La verdure semble impuissante face à la mer.

De plus, la verdure semble rescapée face à la mer. Le champs sémantique du naufrage d'un

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