Britanicus Portrait Néron

Dold Laslo 2nd4

Commentaire Britanicus

        Aujourd’hui je vais essayer de vous montrer a travers cette extrait de quel façon l’auteur monte le portrait complet de Néron.

        Dans un premier temps nous allons voir qu’Agrippine et Albine sont dans un affrontement, d’un coté Albine donne un visage mélioratif de Néron tandis que Agrippine le décrit comme un « tirant ». On peut  apercevoir de nombreuses phrases interrogative  ce qui montrent  qu’albine est étonnée, dubitatives par rapport à ce que dit Agripinne. Plus-tard on peut voir dans cette citation « Qui ne promette à Rome un empire parfait? » ici cette métaphore monte que Néron se comporte comme un chef bienveillant. Il y a également dans cette citations «  Il la gouverne en vain. Enfin, Néron naissant. A toutes les vertus d’auguste vieillissant » ici on peut trouver une métaphore de construction avec «  Néron, naissant » et «  Auguste vieillissant » ce qui nous montre une grande qualité de Néron.

        Ensuite je vais vous montrer de quel façon Néron a hérité de ses parents son pouvoir.Comme on peut le voire avec les rimes suivit aa/bb « respire » et « empire » ici cela montre que Néron doit tout a sa mère justement parce que c’est sa mère.

        Par ailleurs on constate qu’Agrippine a soif de pouvoir, elle pense qu’elle lui a fait don du pouvoir ou alors qu’il lui revienne comme au vers 28 ou elle dit « mon flanc » mais sa ne s’arrête pas la, on voit quand elle dit « mais qu’il songe un peu plus qu’Agrippine est sa mère » en utilisant la 3 eme personne pour parler d’elle on peut penser qu’elle fait des recommandations dans son intérêts comme une personnes extérieur mais aussi qu’en utilisant ce procédé elle essaie d’avoir un point de vu objectif. Et Agrippine décrit aussi Néron comme un avare de pouvoir ou encore un tyran, elle utilise un champs lexical très péjoratif surtout pour un empereur, « tyrannie », « fureur », « horreur », « détruisant », « attentat », « haine », ... cela montre qu’aux yeux de sa mère Néron agit par tyrannie mais les derniers vers nous mettent le doute, ils sont tous écrits en antithèse « réveiller/ignorer » ; « la haine »/« l’amour » mais tout de même les derniers vers confirment ses dires, « Ce même Néron que la vertu conduit, Fait enlever Junie au milieu de la Nuit ».

        Enfin je vais essayer de vous montrer qu’Agrippine ressent les actes de son fils Néron comme de la trahison, elle dit «  Tout, s’il est généreux, lui précise cette loi, Mais tout, s’il est ingrat, lui parle contre moi » le parallélisme de la formulation « tout s’il » refuse l’antithèse  entre « généreux » et « ingrat » ce qui montrent que Néron au lieu d’être reconnaissent envers Agrippine il se montre méprisable. L’utilisation de la conjonction de coordination « Mais » montre ce qu’il fait faire face a ce qu’il devrait faire.

        Pour conclure dans cette extrait le lecteur est dans un premier temps intriguer au sujet de Néron mais qu’ensuite grâce a des arguments incontestable d’Agrippine nous finissons par le cerné, il semble tyrannique, et jaloux de Britanicus.

Veilliez excuser ce retard occasionné….

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