Atala et René, Chateaubriand

Atala et René fut publié en 1802 par François-René de Chateaubriand. Il s’agit d’un roman autobiographique écrit lorsque la Révolution en Angleterre était à son point le plus marquant. L’œuvre littéraire de M. Chateaubriand est un grand classique du style intimiste et est aussi l’un des romans à V voir Gmarquer le début du courant romantique en France. Dans l’extrait donné soit « Levez-vous vite, orages désirés », nous analyserons la souffrance du héros, son lien privilégié avec la nature environnante, Painsi que son désir d’échapper au mal dont il est atteint. Nous regarderons aussi de près l’état d’esprit dans lequel se trouve René et son envie d’en finir avec la vie .

[Première partie argumentative]

[Deuxième partie argumentative]

Ensuite, il est clair qu’en plus de souffrir d’une instabilité affective, René a le cœur brisé, mais il a aussi des idées suicidaires de Utempos à autre. En effet, dans l’extrait « Levez-vous vite, orages désirés » on y détecte un champ lexical des sentiments incluant les mots « tristesse », « tournante », « vide », « solitaire » et « manque ». Nous remarquons alors que Gtout ces mots nous font comprendre assez rapidement que le héros est déprimé et qu’il vit plusieurs émotions à la fois. Il y a aussi cette métaphore : (« Je me figurais les bords ignorés, le climat lointain où ils se rendent : j'aurai voulu être leurs ailes » - l. 16-17) qui nous démontre que René aimerait être aussi libre que les oiseaux qui volent au-dessus de sa tête, aucune responsabilité, aucun problème.P Seulement la liberté et la simplicité d’esprit.

Finalement, on peut aussi sentir que René est dans une phase d’exalteV, ce qui est complètement différent du reste de l’extrait. On remarque cette variation de comportement si on prend le temps d’analyser le champ lexical comprenant encore une fois des sentiments, mais qui sont cette fois si bien différents de ceux vus au premier paragraphe tels que (« joie », « bonheur », « enchanté » et « possédé »). Ceux-ci sont la preuve de l’intensité de la nature qui l’entoure et qui finit par l’émouvoir. On peut aussi remarquer que le héros est dans un état d’esprit fébrile si on analyse le très grand nombre de Gparticipe Gpassé qui sont utilisés (« enchanté, tourmenté et comme possédé par le démon de mon cœur » – l. 22). Dans le passage ou ces participe passé sont employés, René ressent tant l’exaltation qu’il en frôle la folie. C’est justement cette instabilité affective qui est si distincte dans les débuts du courant romantique .

En conclusion, René apprend à apprivoiser et à gérer sa souffrance intérieure en s’inspirant de la nature qui l’entoure. Il reconnaît ses propres d’états d’âme dans celle-ci Pce qui lui permet de lâcher prise et de simplement avancer psychologiquement. Nous avons su démontrer le mal de vivre du personnage principal, ainsi que la façon dont il s’imprègne de la nature, l’évolution qu’il accomplit et qui le fait grandir en tant qu’homme et du moment où il réalise que la religion est la voie qu’il doit choisir pour trouver une libération d’esprit complète.

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