Anthologie préface Baudelaire

PRÉFACE :

Dans une lettre adressée fin 1853 à Fernand Desnoyers Baudelaire dit : je suis incapable de m'attendrir sur les végétaux,[…] J'ai même toujours pensé qu'il y avait dans la Nature, florissante et rajeunie, quelque chose d'affligeant, de dur, de cruel, Paradoxalement, le poème le plus connu de Baudelaire est le sonnet " Correspondances " : " La Nature est un temple où de vivants piliers/Laissent parfois sortir de confuses paroles…

J’ai choisi la nature car pour Baudelaire, l’art est supérieur à celle-ci. Cependant, on remarque bien que la nature est un sujet récurrent dans les fleurs du mal. A l’aide de cinq poèmes, nous verrons comment Baudelaire illustre la nature.Bien évidemment, le premier poème que j’ai choisi est “Correspondances”

Dans ce poème, on remarque bien la prédominance de la nature sur l’homme. le second poème m’a étrangement marqué durant ma lecture. J’ai compris que ce poème n’est autre qu’une allégorie au temps, qui est considéré comme « l'ennemi » la nature y est évoquée de nombreuses fois.

Dans ce poème, la nature décrite par le poète est plus centrée sur la mer.= la vie anterieur

J’ai par la suite choisi le poème Chant d’automne car il correspond lui aussi au thème de la nature. Ici, on nous décrit une nature froide voire infernale…

Bien évidemment, le premier poème que j’ai choisi est “Correspondances”

Dans ce poème, on remarque bien la prédominance de la nature sur l’homme.

Cela est clairement visible dans le tableau “Matamoe ou le paysage aux paons de Paul Gaugin (date)”. Ce tableau est très coloré, cela fait référence “aux vivants piliers” et “aux couleurs”mentionnés par Baudelaire. On y voit aussi plusieurs types de plantes comme celles décrites par le poète.

2. Chant d’automne p 90

Jacob VAN RUISDAEL, Paysage d'hiver (peint vers 1665-1670 – Rijksmuseum, Amsterdam).

La peinture est composée de couleurs froides qui nous transmettent le froid de la scène qui est peinte. Cela se rapproche de “l’enfer polaire” décrit par Baudelaire, tout comme “les gros nuages noirs” venant de la droite qui rappellent la plongée dans “les froids ténèbres.”

Pour finir, on aperçoit des personnes qui semblent travailler, on peut ainsi relier cette scène “au bois” me ntionné à la ligne 4.

3. L’ennemi p3

D’après le paysage atypique que l’on retrouve dans ce poème, j’ai choisi un tableau du célèbre Salvador Dali datant de 1938 qui n’a pas de nom.

On y voit trois cadrans qui semblent fondrent, cela représente donc le temps qui passe. Le sol peint paraît rugueux comme celui décrit par Baudelaire au vers

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