Analyse du texte de Nancy Huston sur la reconstruction de Notre-Dame de Paris

Ce texte est un texte écrit en prose peu après l’incendie de Notre-Dame de Pairs par Nancy Huston.

Le thème de ce texte porte sur la reconstruction de l’emblematique cathedrale Notre Dame de Paris mais l’auteur va plus particulièrement s’interresser à l’aspect polemique de celle-ci en evoquant le rapport des francais vis-à-vis de ce monument, de son rapport personnel avec ce-dernier et en y entroduisant la question de l’identité. Nous n’avons pas de date precise mais on imagine une redaction faite quelque temps après l’incendie lorsque citoyen et grande entreprise se sont mobilisés et ont promis des dons pour le moins consequent. Dans ce texte l’auteur emploie un ton ferme et provocateur qui destabilise le lecteur et le pousse à remettre en question ses valeur et son avis personelle sur cette reconstruction qui fait debats. Tout de fois elle laisse le lecteur avoir son propre avis en prenant du recul en utilisant plutôt le pronom personnel « je » ou « on » que le le pronom personnel « nous ».

Ce texte s’articule en 3 parties. En premier lieu (l.1 à 10) Nancy Huston questionne les francais quant à leur rapport avec le monument puis nous fait part de son propre rapport avec ce dernier. Dans un second temps (l10à 22) l’auteur pose la question de l’identité qu’elle relie avec les notions de recits et de lieux comme par exemple les monuments avant de s’interroger sur notre propre et reel indentité. Enfin dans une derniere et longue partie (l.23 à 53), Nancy Huston nous donne son point de vue sur les valeurs aux quelles les francais se ratachent.

Dans la première partie l’auteur compare Notre-Dame de Paris à une « vielle grand-mère » et les parisiens à « ses enfants et petits enfants » qui bien qu’ils en avaient presque oublié son existence se rendent compte lorsque celle-ci tend à mourir qu’ils forment je cite « une famille extraordianaire ». Ensuite l’auteur nous parle de son propre rapport avec les lieux religieux, en utilisant la première personne. Elle nous dévoile sa non-croyance mais porte tout de même un interet particulier à ces lieux cultes de par leur singularité. Elle elargie son point de vue en utilisant le mot « église » au pluriel qui peut donc faire reference à plusieurs religions.

Dans la second partie l’auteur emploie le pronom « nous », sa parole prend alors une dimension d’autant plus collective et ainsi elle aborde la notion d’identité. Selon Nancy Huston notre identité se ratachent aux symboles et recits qui dictent notre histoire. La repetition du pronom « tous » nous montre que ce ratachement s’etend à la totalité de l’humanité. Les lieux, comme les monuments, forgent également notre identité. On fait de ces lieux qui nous parraissent cultes et essentiel, des lieux qui nous caracterisent, se retrouvant dans ces recits qui nourissent notre imaginaire, nous convaincant que ceci est la realité. L’auteur revient ensuite sur notre-Dame de Paris par la phrase « Rebatir l’impalpable », finalement rebatir notre identité. Nancy Huston remet en cause cette identité et réfute 3 croyances : on croyait être « fauchés », « laïques » , « rationnel, cartesiens, logique » mais finalement la reconstruction de la cathedrale nous prouvent le contraire, on est alors « riches », « catholiques » , « supersticieux, fletichistes ».

Dans toute la dernier

...