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Altérité

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Par   •  11 Septembre 2011  •  1 013 Mots (5 Pages)  •  1 699 Vues

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Altérité

Altérité (l'altérité) est une logique et métaphysique concept de généralité considérables qui ne seraient pas normalement être inclus dans un dictionnaire de la psychanalyse si, avec les concepts du grand Autre et l'autre petite, Jacques Lacan n'avait pas pris les idées de Freud dans la mesure où il fait et si la psychanalyse française contemporaine n'avait pas été aussi amoureux de la morale et de système philosophique proposée par Emmanuel Levinas. Dans le Sophiste de Platon, «l'autre» est l'un des cinq premiers types (le long de l'existence, de repos, de mouvement, et de la mêmeté). Pour Hegel, dans la mesure où le premier moment de chaque être-là contient sa propre négation , l'altérité peut être considéré comme le moteur du mouvement dialectique. Dans un autre registre, la tradition chrétienne, reformulé par Kant, conçoit l' impératif catégorique de la morale que le commandement qui nous oblige à traiter les autres non pas simplement comme moyen, mais comme des fins. On peut aussi considérer le concept de l'altérité comme l'un des fondements de l'éthique. Mais il ya peu de signes de Freud dans ce domaine, et nous serions assigner une tâche de la psychanalyse une ambition considérable si l'on regarde en son sein pour la solution à ces problèmes philosophiques et moraux.

Néanmoins, le concept n'est pas totalement étrangère à Freud ou la psychanalyse soit, et il ya certainement des signes de sa présence, même de façon indirecte. Bien que le travail de Freud ne fournit aucune formule pour les relations morales avec les autres, la question de l'essence de la relation humaine est traitée explicitement dans Psychologie collective et analyse du moi (1921). Ici, Freud examine les théories de Gustave Le Bon et, plus généralement, la notion de cette relation à la suite d'une sorte de «sympathie». Pour lui, toutes les relations entre les humains impliquent l'image du père. L'humanité, dit Freud, n'est pas un grégaires des animaux (Herdentier), mais une horde d'animaux (Hordentier). Il a donc transpose dans le monde réel du schéma dans Totem et tabou, selon laquelle le darwinienne) primitive horde (est une société dans laquelle les liens se composer uniquement d'une dépendance partagée sur le père primitif. Ainsi Freud retrouve, sans doute sans s'en rendre compte, la vision de Leibniz des monades qui ne peuvent communiquer entre eux grâce à Dieu. Les principaux exemples de ce serait, selon Freud, l'Eglise et l'Armée de terre, dans la mesure où leur unité réside dans la relation de chacun de leurs membres à un chef (le Christ, le général). Mais nous constatons la même chose en plus banale des situations (par exemple, le corps collectif de toutes les jeunes filles en amour avec le même chanteur), où le lien interhumain n'est pas la sympathie, mais plus ou moins sublimée forme de jalousie . Toutefois, il s'agit d'une théorie psycho-sociologique des relations interhumaines et non pas une conception morale de la relation à l'autre.

Cela étant dit, il ya une grande tentation chez les auteurs inspirés par Freud pour essayer de développer à partir de son travail une "psychanalytique" théorie de la «vraie» relation à l'autre et

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