Verlaine, Malines

Verlaine – Malines

j'ai aimée ce poème car :

Ayant une forte attirance pour la nature je suis intéressée par ce poème car on y trouve une forte présence de celle-ci. On y trouve le champ lexical de la faune et de la flore «  près », »vent », »vagues », »prairies » , »vaches », « taureaux ». La présence d'un wagon dans le poème propose un voyage au lecteur l'incite a fuir une réalité à allé vers un monde meilleur. La présence du mot « féeries » plonge le lecteur dans une sorte de rêve , dans un monde sans problèmes . On remarque que le « wagon » est spectateur du paysage il « glisse sans un murmure » comme impressionné par le paysage , il ne voudrait pas le déranger. L'hyperbole «  Sahara de prairies » invoque l'imaginaire et le tend vers l'infini vers une blancheur de non-lieu, il dévoile au lecteur un paysage fantastique et étrange , le lecteur est témoin de cette scène depuis un espace parallèle qui est le train. L'expression « mille horizons » multiplie le paysage comme une sorte d'infini , d'un voyage sans fin. Ces associations donnent une impression de tranquillité familière « chaque wagon est un salon , Où l'on cause bas, et d'où l'on Aime à loisir cette nature »  et d'irréalité «  à ce Sahara de prairies » mêlées de sérénité « en Silence » « Dormez » « Doux » « murmure » « glisse » et de griserie  « féeries » tout à la fois.

...