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Les courtisanes

TD : Les courtisanes. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Juin 2019  •  TD  •  1 185 Mots (5 Pages)  •  474 Vues

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Affiche Côte d’Azur :

Construction Riviera (Nice), Carlton (Cannes),

Tout le long de la cote : palace, salle de jeux,

Casino de Monte Carlo, devient capitale européenne du jeu, courtisanes.

Des pionnières, découvreuse en matière de beauté

Les courtisanes accélèrent l’industrie du luxe, mode, beauté, maquillage, coiffure.

Les aristocrates et les bourgeoises copient.

Toute la journée elles se font belles, principal outil de travail.

Reçoivent chez elles les coiffeurs, pédicures, couturières. Parfum de liberté très fort chez ces femmes. Affranchi des codes traditionnelles de féminité. Pionnières en matière de mode de coiffure, makeup et bijoux. C’est pour cela qu’elles sont devenues des icônes de leur époque. Font toujours preuve d’audace, originales et créatives. Rôle d’influence sur les autres femmes. Cassent les codes du monde : demi monde. Discrétion et bon goût délaissé. Très ostentatoire. Perçu comme des reines de beauté. Elles sont différentes. C’est l’art de se distinguer. Elles alimentent l’essor des entreprises du luxe, en étant des clientes riches et créatives. Rôle majeur dans l’avènement du luxe français. Bijoux, textile, parfums. Elles inventent une nouvelle manière d’être belle. Vont Place Vendôme, chez Guerlain, Worth et Christofle, Van Clef, Chaumet et Mellerio.

Mode de la deuxième moitié de ce siècle : Ostentatoire, Spectacle.

La paiva, l’une des femmes les plus fortunées du 19éme. Volonté, énergie et force.

Marie Duplessis : fine, pâle, gracieuse et mélancolique. Elle a la Phtisie, Tuberculose.

La dame aux camélias. Porte des robes claires avec ornement de Camélia. Tous les jours un coiffeur à domicile.

Valtesse de Bigne : Beauté du second empire, embonpoint et carnation de porcelaine.

                        « Rayon d’Or »,  Côtoie l’élite, mécène. Modèle pour Nana de Zola.

                         

Liane de Pougy : icône de l’art nouveau. Très grande pour l ‘époque. Longiligne.

                        Devient la figure de la France en 1900. Femme fleur.

L’art de s’habiller. Parallèlement aux couturiers se développe le Printemps, Les Galeries Lafayette et le Bon Marché, à partir de 1860. Les courtisanes, elles préfèrent faire venir les couturiers chez elle. Jeux de compétition entre le monde et le demi-monde. On se change bcp.  Sous le second empire tout devient ostentatoire.

La Castiglione, d’origine italienne, fréquente Napoléon III. La crinoline devient l’instrument de beauté privilégié des femmes du luxe. Superposition de 7 jupons.


Les frères peugeot fabriquent une cage métallique de cerceau qui sert d’armature aux jupes, pour que les robes paraissent amples et larges. Ornement de tulles, de dentelles ou de ruban.

On recherche des effets de matières, on parle de style tapissier. On porte des pantalons sous les jupes, avec des corsets pour mettre en valeur leurs poitrines.

Invention de la machine à coudre lors de l’expo universelle de 1865.

À partir de 1867, on arrête cette mode de jupes. Accident, lourd

Worth, invente le concept de Haute-Couture. Fonde sa maison en 1858 à Paris.

Transforme l’univers de la mode. Il habille l’impératrice Eugénie dès 1864. Il a un génie créatif et commercial. Il invente le concept de modèle artistique unique confectionné et exposé en un seul exemplaire. Les nanas peuvent choisir les couleurs et les tissus mais pas de modification sur le modèle. Invente les premiers défilés. Il invente la Haute-Couture, tournant pour la profession. En 10 ans il devient le plus grand couturier de son temps, emploie plus de 12000 personnes. Ces tenues atteignent des prix exorbitants.

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