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Julio marie curie

Résumé : Julio marie curie. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Mai 2020  •  Résumé  •  1 374 Mots (6 Pages)  •  614 Vues

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Irène Joliot-Curie

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Née le 12 septembre 1897 à Paris et morte le 17 mars 1965 à Paris, Marie Joliot-Curie est une chimiste, physicienne et femme politique française. Fille des célèbre scientifique  Pierre et Marie Curie, elle découvre la radioactivité artificielle avec son époux et obtient le prix Nobel en chimie en 1935. Elle eut une place importante dans la politique car elle devient en 1936, sous-secrétaire d’État à la recherche scientifique du gouvernement du Front Populaire. C’est une personne qui durant toute sa vie a œuvré pour donner aux jeunes, en particulier les jeunes filles qui souhaite trouver leur place dans la recherche et les carrière scientifiques. Selon Frédérique Juliot, « elle était une femme formidable », en effet les physiciennes n’était pas nombreuses dans les laboratoires au début du XXème siècle. Irène commence une scolarité normale, ses parents constatent rapidement ses grandes prédispositions pour les mathématiques. Ils forment alors un cercle d’intellectuels, comprenant notamment Paul Langevin, dont l’objectif est de contribuer à l’éducation des enfants des autres sur des sujets très variés. Irène bénéficie ainsi, pendant deux ans, d’une éducation de haute qualité avant d’entrer au Collège Sévigné puis à la faculté des sciences de la Sorbonne. En 1906, son père meurt accidentellement. Ses études sont interrompues par la Première guerre mondiale. A 17 ans, Irène accompagne sa mère sur le front pour pratiquer des radiographies sur les soldats blessés au combat. A son retour de la guerre, titulaire d’un baccalauréat, elle assiste sa mère à l’Institut du Radium (devenu depuis Institut Curie), que celle-ci vient de créer avec Henri Becquerel. Là, Irène rencontre un autre assistant de Marie Curie, Frédéric Joliot. Ils se marient en 1926 et auront deux enfants : Hélène en 1927 et Pierre en 1932. Ils  disposaient de grandes quantités de corps radioactifs ( radium et ses descendants notamment le polonium), mais au cours des année 20, il se consacrait surtout à l’étude extensive des nombreux membres des familles radioactives et leurs propriétés, de leurs désintégrations spontanées. Le couple commence alors après la thèse de Frédérique des recherches, en particulier des études sur le passages des rayons alpha au travers de le matière, important pour utiliser les projectiles nucléaire. De 1930 et 1932 se produisirent des expériences décisives pour la mise en évidence du neutron. Après les études de Bothe et Becker en 1930 sur la découverte d’un nouveau rayonnement qui produit en bombardant du béryllium par des ces particules alpha du polonium et ensuite interprété comme un rayonnement  gamma énergique. Frédérique et Irène Joliot-Curie montrent que ce rayonnement projetterais des protons lorsqu’il tombait sur une feuille mince hydrogénée. Le protons est une particules subatomiques appelé nucléons et qui constitue le  noyau des atomes. C’est une particules chargé positivement et lié entre elles par la force nucléaire forte décrite par des équations analogues à celles de l’électromagnétisme. Avec cette découverte Chadwick reprend l’idée en pensant pour projeter des protons, il fallait un rayonnement gamma de 50 MeV d’énergie. Le travail des Joliot-Curie fut important pour la découverte du neutron, dans les année 30 Louis Leprince-Ringuet en parle dans des actualités scientifiques et complimente leurs travail. A ce moment la Frédérique et Irène Joliot-Curie, viennent de terminer la préparation d’une source alpha de polonium particulièrement intense et commencent à l’utiliser, retrouvent alors des électrons positifs dans des clichés de chambre positif comme dus à l’émission de paires en e+  e-  causé par des gammas émis par la source de polonium. Le phénomène appelé «  matérialisation d’un photon » avait été étudié par les Joliot-Curie, au cours de l’émission de e+ par le béryllium bombardé par le rayonnement alpha du polonium. C’était une théorie faites par la suite Oppenheimer et Nedelsky. Mais le bombardement de fluor, de l’aluminium, du sodium et du bore provoque également l’émission d’électrons positifs qui ne peuvent être interprété en de cette manière. Appelé tout d’abord par les julots-Curie « électrons de transmutation, qui est un terme pour désigner les réactions nucléaires. La transmutation s’accompagnait d’émissions de protons mais aussi du couple neutron plus électron positif, le bilan énergétique correspondant bien à une masse de neutron égale à celle de Chadwick et Goldhaber avaient trouvé en utilisant la photodésingrésintégration du deutérium qui venait aussi d’être découvert en 1932. En octobre 1933 à Bruxelles le 7ème Congrès International de Physique, intitulé Structure et les propriétés des Noyaux Atomiques. Marie Curie, Irène Joliot-Curie que Frédérique Juliot ainsi que plusieurs scientifiques y sont invités et discute de leurs recherche et découverte.

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