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Biographie de Marie Curie

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Par   •  20 Novembre 2013  •  2 527 Mots (11 Pages)  •  3 491 Vues

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I) Introduction

Marie Curie, de vrai nom, Marya Salomea Sklodowska, est née le 7 novembre 1867 à Varsovie au sein du Royaume du Congrès (actuelle Pologne) et morte le 4 juillet 1934 au sanatorium* de Sancellemoz situé à Passy (Haute-Savoie) en France. Elle était une physicienne française d'origine polonaise. En 1903, son époux Pierre Curie et elle, reçoivent une moitié du prix Nobel de physique pour leurs recherches sur les radiations. Ainsi, elle devient la première femme lauréate* de la médaille de Davy. En 1911, elle obtient le prix Nobel de chimie pour ses travaux sur le polonium et le radium. Elle est la seule femme à avoir reçu deux prix Nobel* et la seule parmi tous les lauréats à avoir été récompensée dans deux domaines scientifiques distincts.

II) Ses proches

Marya Sklodowska est née de Bronislawa, directrice d'école et de Wladislaw, professeur de mathématiques et de physique. Elle a trois sœurs, Zosia (ou Sofia), Hela (ou Helena), Bronia (ou Bronislawa) et un frère Jozio (ou Joseph). En avril 1894 elle fit la connaissance de Pierre Curie, un français qui avait la même passion que celle-ci. Il deviendra son mari le 26 juillet 1895 à Sceaux.

III) Son enfances

Marya connu une période sombre malgré ses résultats scolaires au dessus de la moyenne. Durant cette époque, une russification* massive se décréta et refusant cette façon de gouverner, son père fut renvoyé de son poste d'enseignant. Plus tard deux de ses sœurs furent touchés par la maladie du Typhus. En 1876 Zosia meurt à cause de ce fléau et Bronia resta en vie mais elle fut très affaibli et mis de long mois à s'en remettre. Alors qu'elle n'avait que 10 ans, le 9 mai 1878, sa mère décéda suite à une tuberculose. Elle se referma sur elle même travaillant encore plus. A 15 ans, elle termina le lycée et gagna une médaille d'or pour son assiduité au travail et à sa participation. Marie voulut alors continuer ses études mais elle ne put atteindre les universités car elles n'acceptaient aucune fille. Son père, n'aurait de toute façon pas accepter de la placer dans une université car il avait décidé de l'envoyer chez ses cousins, qui habitaient à la campagne. Un ans plus tard elle revint à Varsovie, pleine d'énergie, le sourire aux lèvres et un seul projet qui lui tenait à cœur : continuer ses études. Marya fit un peu de résistance avec sa sœur cadette, Bronia, révolté contre les pays tels que la Russie qui oppressaient la Pologne. Peu après une université Parisienne ouvrit ses portes aux filles : la Sorbonne. Pour Marya et sa sœur avec qui elle avait fait de la résistance, c'était une opportunité extraordinaire, mais elles n'avaient pas d'argent pour payer le loyer d'un petit studio, ni même pour se nourrir. Marya décida de partir à proximité de l'université et de travailler en tant qu'institutrice particulière pour se payer tout ce qui lui faudra pour sa vie d'étudiante et celle de sa sœur. Les études étaient elles aussi financer par le maigre salaire de Marya.

IV) Ses études

En 1891, à tout juste 24 ans Marya, qu'on appela désormais Marie, intégra la Sorbonne malgré ses difficulté en cours de français. Elle trouva les professeurs formidable et les cours de science et de physique passionnant. Seulement elle n'avait pas beaucoup d'argent, mais celait lui importait peu. Elle refusa même de vivre chez sa sœur, une maison bien plus grande que sa chambre d'hôtel, juste pour la raison qu'il faudrait prendre les transports en commun pour aller à l'université. Elle considérait cela comme une perte de temps. Elle consacra toute son adolescence à ses études, n'ayant pas de lumière dans sa chambre elle allait dans une bibliothèque pour perfectionner ses recherches ou ses exercices quand la lumière du jour n'était plus suffisante. En juillet 1893, à 26 ans elle obtint une licence en physique en terminant 1ère au concours. Elle décrocha ensuite une deuxième licence en 1894, mais cette fois en mathématiques où elle finit 2ème. Pendant les 3 ans suivant ce n'était que travail acharné sans relâchement. Tout ce qui empiétait sur son temps de travail ne l'intéressait pas. Elle décrocha alors deux diplômes. Elle reçu ensuite une bourse* polonaise, ce qui lui permit de continuer ses études en France. Un ans après, elle rentrera en Pologne avec les diplômes nécessaires pour devenir professeur de mathématiques et de physique comme son père l'avait été.

V) Ses découvertes

Elle partit travailler dans le laboratoire de son mari pour obtenir le doctorat de physique. Il fallait qu'elle écrive une thèse* mais aucune femme n'avait réussi à faire un travail qui aurait pu leur permettre d'obtenir leur doctorat de physique. Elle choisit de traiter le sujet sur les rayons envoyés par l'uranium, elle connaissait les rayons X* qui y ressemblait mais qui n'avaient pas les mêmes sources. Les rayons uraniques viennent de la matière alors que les rayons X proviennent des appareils électriques. De plus, les rayons uraniques ne s'arrêtent jamais de rayonner. Le 17 février, Marie apporta au laboratoire une roche toute noir et très lourde : la pechblende. En fait, elle essayait de découvrir de nouvelles roches qui envoyaient des rayons uraniques*. Il se trouva que la pechblende en envoyait. Seulement, quelque chose d'étrange se produisit ; la quantité de rayons qu'envoyait cette nouvelle roche était plus forte que celle de l'uranium. Elle pensa d'abord que les résultats de ces expériences avaient été faussé et que les machines étaient déréglées pourtant tout était en parfait état, cela prouvait donc qu'une seconde matière était contenu dans la roche. Une matière inconnue des chercheurs. Pierre choisit de se joindre à sa femme. Au fil des recherches, ils arrivèrent à obtenir une matière qui envoyaient des rayons 300 fois plus puissants que ceux de l'uranium. Seulement, elle était encore cachée dans les deux matières qu'il finirent par trouver : le baryum* et le bismuth*. Juillet 1898. En purifiant encore et encore le bismuth, ils rencontrèrent un métal inconnu qui envoyait des quantités énormes de rayons : 400 fois plus grand que ceux de l'uranium. Marie décida de l'appeler polonium*. Elle appela ses rayons : la radioactivité*. Un mois plus tard, ils firent de même pour le baryum, et ils découvrirent un autre métal inconnu, qui renvoyait encore plus de rayons que le polonium.

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