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Isabelle Sunrun-appropriation territoriale et résistance autochtone

Fiche de lecture : Isabelle Sunrun-appropriation territoriale et résistance autochtone. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  26 Mars 2022  •  Fiche de lecture  •  945 Mots (4 Pages)  •  234 Vues

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Isabelle Sunrun, « Appropriation territoriale et résistances autochtones », in Pierre Singaravélou (dir.), Les Empires coloniaux XIXeme – Xxeme, Paris, Le Seil, 2013, pp. 37-75.

  Isabelle Sunrun est une professeure à l’université de Lille, spécialisée en histoire contemporaine, plus précisément, sur les Empires coloniaux et l’Afrique. Elle a écrit diverses critiques, ainsi que 4 livres, le plus réputé, sur l’Afrique, mais aussi les Empires Coloniaux, qui est au sujet de l’impérialisme des Européens sur les autres continents. Le texte en question est le chapitre 1, nommé appropriations territoriales et résistances autochtones, on y découvre l’arrivée des puissances Européennes en Afrique et Asie, ainsi que les réactions autochtones que ça engendre et les stratégies mises en œuvre pour profiter à l’appropriation territoriale. Tout ça a travers 3 parties distinctes.

1. Au commencement n’est pas la guerre

  L’appropriation territoriale a commencé lentement, de fait, au XIXéme siècle, les puissances Européennes n’avaient comme territoires, que des enclaves sur les côtes, sous domination autochtones, les territoires étaient discontinus, limités et négociés entre les acteurs et soumis à une coutume (impôt), de plus, lors de conflits, c’était sous la juridiction du peuple autochtone garant que se réglait le litige. Rapidement, les rapports entre les grandes puissances et les petits peuples ont changés, le « droit des nations », plaçant tout le monde sur le même pied d’éstale, a laissé place ou « positivisme », établissant une hiérarchie profitant aux Européens. Les puissances impérialistes souhaitent vite la délégation de souveraineté, facilement acquise en échange de leur protection, ils obtiennent donc des régimes d’exclusivité, imposant leurs drapeaux et excluant toutes possibilités de liens avec d’autres conquérants, ils y gagnent les droits de guerre et d’alliance, en laissant ceux de justice et impôts aux dirigeants autochtones. Ce procédé est de plus en plus adopté et devient donc vite factice, les Européens commencent a unifier des territoires ou a se les passer sans consulter les états concernés.

  Le début du XXéme siècle marque de nouvelles pratiques, désormais les Européens exercent du protectaria, qui a plus une valeur politique que juridique, les frontières sont en sans cesse mouvement, du aux échanges de territoires entre super puissances, au détriment des petits peuples, a qui ils extirpent petit a petit le pouvoir. En exemple, les pays impériaux endettent les états, qui leurs laissent donc le pouvoir total en échange de l’oublie de leurs dettes, ou encore, les peuples concernés, envieux de richesse, accorde leur total allégeance aux puissances.

2.Mener la guerre hors d’Europe

  La guerre de conquête est un des meilleurs moyen de construire un empire, de plus, il permet de le faire rapidement, pour exemple, l’appropriation de l’Afrique à duré 20ans. Ces conquêtes s’opèrent de la sorte : elles débutent sur un petit territoire, puis peu a peu, font le fruit d’incorporations progressives. Les frontières séparant les avancés, elles, écopent de l’aide géographique, grâces aux fleuves, chemins de fer,… Mais ne prennent pas en compte la position des peuples autochtones, car tracés par les dirigeant Européens, qui y voient plus une ressource commerciale que sociale, notamment lors de la Conférence de Berlin. Les conquérants, loin de leurs pays d’origine, ont parfois la nécessité de fermer leurs frontières, et ce, soit pour solidifier et asseoir leur autorité, soit pour se préparer a exercer leur impérialisme.

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