La sociologie

Ceci, dit-il d’une voix éclatante en montrant la Peau de chagrin, est le pouvoir et le vouloir réunis."

Analyse : L'orateur, manifestement passionné, présente la Peau de chagrin comme la synthèse du pouvoir et de la volonté, évoquant une union de forces puissantes.

"Là sont vos idées sociales, vos désirs excessifs, vos intempérances, vos joies qui tuent, vos douleurs qui font trop vivre ; car le mal n’est peut-être qu’un violent plaisir."

Analyse : Le discours explore divers aspects de l'humanité, mettant en lumière les idées sociales, les désirs démesurés, les excès et les paradoxes de la vie, remettant en question la dichotomie entre le mal et le plaisir intense.

"Qui pourrait déterminer le point où la volupté devient un mal et celui où le mal est encore la volupté ?"

Analyse : L'orateur soulève une question complexe sur la frontière entre le plaisir et le mal, soulignant l'ambiguïté inhérente à la nature humaine.

"Les plus vives lumières du monde idéal ne caressent-elles pas la vue, tandis que les plus douces ténèbres du monde physique la blessent toujours ; le mot de Sagesse ne vient-il pas de savoir ? et qu’est-ce que la folie, sinon l’excès d’un vouloir ou d’un pouvoir ?"

Analyse : Le contraste entre le monde idéal et physique est exploité pour illustrer la dualité de la perception. La quête de sagesse est soulignée, avec la folie perçue comme un excès de volonté ou de pouvoir.

Ceci, dit-il d’une voix éclatante en montrant la Peau de chagrin, est le pouvoir et le vouloir réunis."

Analyse : L'orateur, manifestement passionné, présente la Peau de chagrin comme la synthèse du pouvoir et de la volonté, évoquant une union de forces puissantes.

"Là sont vos idées sociales, vos désirs excessifs, vos intempérances, vos joies qui tuent, vos douleurs qui font trop vivre ; car le mal n’est peut-être qu’un violent plaisir."

Analyse : Le discours explore divers aspects de l'humanité, mettant en lumière les idées sociales, les désirs démesurés, les excès et les paradoxes de la vie, remettant en question la dichotomie entre le mal et le plaisir intense.

"Qui pourrait déterminer le point où la volupté devient un mal et celui où le mal est encore la volupté ?"

Analyse : L'orateur soulève une question complexe sur la frontière entre le plaisir et le mal, soulignant l'ambiguïté inhérente à la nature humaine.

"Les plus vives lumières du monde idéal ne caressent-elles pas la vue, tandis que les plus douces ténèbres du monde physique la blessent toujours ; le mot de Sagesse ne vient-il pas de savoir ? et qu’est-ce que la folie, sinon l’excès d’un vouloir ou d’un pouvoir ?"

Analyse : Le contraste entre le monde idéal et physique est exploité pour illustrer la dualité de la perception. La quête de sagesse est soulignée, avec la folie perçue comme un excès de volonté ou de pouvoir.

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