Fiche de Révision BAC – Pour un oui ou pour un non (Nathalie Sarraute)
Fiche : Fiche de Révision BAC – Pour un oui ou pour un non (Nathalie Sarraute). Recherche parmi 302 000+ dissertationsPar JujuDissert • 7 Juin 2025 • Fiche • 706 Mots (3 Pages) • 41 Vues
Fiche de Révision BAC – Pour un oui ou pour un non (Nathalie Sarraute)
I. Les grands mouvements de la pièce (exemples clés)
1. H1 mène un interrogatoire : « Que s’est-il passé ? Qu’est-ce que tu as contre moi ? » → donne le ton d’un procès.
2. H2 évoque l’incident du « C’est bien… ça » avec un ton qui serait condescendant → exemple de tropisme.
3. H2 analyse : suspens, accent, intervalle entre les mots → micro-analyse du langage.
4. H1 est jugé par contumace dans une scène avec les voisins → procès symbolique.
5. H2 cite : « Tu m’as soulevé par la peau du cou… », image forte de la rupture affective.
6. H1 utilise le mot « condescendant » que H2 refusait de dire mais ressentait.
7. F et H3 interviennent et tournent la dispute en dérision (« cinglé », « marginal »).
8. H1 dit à H2 : « Tu étais jaloux », ce que H2 nie, renversant l’accusation en accusation de vanité.
9. H2 mentionne la « petite princesse cachée au fond de la forêt » → motif poétique et sensible.
10. H2 tente de s’excuser : « Je t’aime bien, tu sais… » → tonalité affective et intime.
11. H1 ironise sur Verlaine : « La vie est là, simple et tranquille… » → critique des stéréotypes poétiques.
12. H2 répond : « Qu’est-ce qui te prend tout à coup ? » → H1 emploie aussi des lieux communs.
13. H1 cite « Le ciel par-dessus le toit » en le moquant, puis en le valorisant.
14. H1 rappelle les « écrits d’un temps où tout le monde a été obligé de s’arrêter » → allusion à l’enfermement.
15. H2 propose d’aller jouer aux cartes postales pour se tuer → montée dramatique.
16. H2 : « Une lutte à mort. C’est toi ou moi. » → climax de la confrontation.
17. H2 évoque « deux camps adverses » → séparation des visions du monde.
18. H1 évoque le « camp des vainqueurs » et celui « des ratés » → métaphore sociale.
19. H2 finit par dire qu’il est du côté des « ratés » → revendication d’un échec poétique.
20. Trois silences marquent la fin : H1 dit « oui », H2 dit « non » → choix irréconciliables.
21. Le bonheur vu par H1 : ostentatoire, conforme à la norme → moqué par H2.
22. H2 refuse de « jouer le jeu », dénonce le regard des voisins.
23. Le langage est au centre : citations de Verlaine, de Rimbaud, expression du désaccord sur ce qu’est un « poète ».
24. La scène du procès : condamnation par contumace, H2 annonce qu’il a été jugé.
25. Ironie et guillemets : H1 tourne en dérision les mots utilisés par H2 (« poétique », « vraie vie »).
26. Le rythme des dialogues : ponctué de silences, de reprises et de malaise → langage désarticulé.
27. H1 refuse de nommer le camp de H2, mais le place implicitement du côté de la marginalité.
28. H2 évoque la difficulté de « nommer » → dire, c’est figer.
29. Toute la pièce se construit sur une « sous-conversation » : ce qu’on ne dit pas mais qu’on ressent.
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