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Quels sont les problèmes économique, écologique de notre monde contemporain ?

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Par   •  13 Avril 2023  •  Discours  •  1 086 Mots (5 Pages)  •  147 Vues

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La prise de conscience de l’urgence environnementale n’est pas nouvelle. A l’échelle planétaire elle remonte aux années 1960-1970. A cette époque de nombreux travaux scientifique altèrent l’opinion publique sur les dangers que représente notre modèle de société. Face à l’accroissement démographique et à l’exploitation continue des ressources naturelles, de nombreux acteurs tire la sonnette d’alarme. Les problèmes environnementaux(épuisement des ressources naturelles, pollution, réchauffement climatique), semblent aujourd’hui quasi irréversible, en supposant une adaptation de nos comportements individuel et collectifs. Nous allons nous demander quels sont les problèmes économique, écologique de notre monde contemporain.

                                                                 

Aujourd’hui encore une grande partie des émission mondiales à effet de serre provient de l’utilisation de combustibles fossiles(tels que le charbon, pétrole, gaz naturel). La production d’électricité dépend encore majoritairement des combustibles fossiles. Seul un quart de notre électricité proviens des ressources renouvelables(éoliennes, solaires).

                       

Les actions en faveur de l’environnement menées par les pouvoirs publics s’articulent à différentes échelles.                                                        

 Les ONG, les experts, certains partis politiques et les mouvements citoyens participent à la « mise sur la place publique » des problèmes environnementaux. En effet, un problème social ou environnemental ne devient un problème public que grâce à des acteurs qui agissent pour en faire connaître les enjeux et susciter le débat, notamment via les médias ou les réseaux sociaux. Cette mobilisation peut entraîner une mise à l'agenda politique, c'est-à-dire un traitement de la part des pouvoirs publics.
Les relations entre tous ces acteurs de la question environnementale sont changeantes, elles alternent entre la coopération (le dialogue et l'unité face au problème environnemental) et le conflit (l'opposition entre) deux acteurs sur un problème écologique ou sur les moyens de le résoudre).

C’est pour cela que dès 1972 il y a le premier sommet de la Terre à Stockholm, cette conférence a placé les questions écologiques au rang de préoccupations internationales. 

Cette conférence aboutit à la création du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Également depuis 1988 la création du GIEC qui évalue l’état des connaissances sur l’évolution du climat, ses causes, ses impacts. Chaque année depuis 1995, les états signataires de la convention cadre des nations unis sur le changement climatique signé en 1992 se réunissent pour réfléchir aux solutions à mettre en place pour lutter contre le réchauffement climatique.

Tout d’abord l’environnement est considéré par les économistes comme un bien commun. On constate donc la mise en place d’une  politique climatique prises par les pouvoirs publics pour lutter contre le changement climatique et notamment le réchauffement de la planète. Pour y parvenir, il est indispensable de réduire l'émission de gaz à effet de serre. Les économistes considèrent le changement climatique comme une externalité négative. Or, pour lutter contre les externalités négatives sur l'environnement, l'État dispose d'instruments majeurs.
Le premier est la réglementation. En effet, l'État dispose de la possibilité de contraindre par la loi les agents économiques en adoptant une réglementation écologique. Par exemple, il peut voter une loi interdisant aux entreprises de rejeter dans l'atmosphère plus d'une certaine quantité de CO2 par an ou les obliger à dépolluer sous peine d'amendes.
Les pouvoirs publics peuvent également agir dans une logique d'incitation (subvention) et/ou de dissuasion (taxe). Par exemple, l'État peut inciter les entreprises à l'innovation verte en versant des subventions pour financer partiellement les dépenses de recherche et développement avec la Responsabilité sociétale des entreprises  . A contrario, il peut recourir à la taxation, ou « écotaxe », selon le principe « pollueur-payeur ». Par exemple, depuis 2008, l'État français applique le « bonus-malus écologique ». Ce recours a également l'avantage de permettre à l'État de percevoir des recettes fiscales qui pourront financer une action en matière environnementale.
Enfin, l'État dispose d'un dernier moyen, le marché de quotas d'émission (ou des droits à polluer).                                    Notre empreinte écologique est actuellement trop importante par rapport au nombre de ressources que ce que notre planète est capable de nous fournir. Les politiques doivent ainsi s’adapter au réchauffement climatique. En France par exemple les collectivités territoriales disposent de nombreuses compétences en matière d’aménagements territoriales, d’infrastructures publics et de protection des écosystèmes.

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