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Styles de management et contre-pouvoirs dans l’entreprise

Fiche : Styles de management et contre-pouvoirs dans l’entreprise. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Janvier 2022  •  Fiche  •  306 Mots (2 Pages)  •  567 Vues

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Chapitre 2 : Styles de management et contre-pouvoirs dans l’entreprise

1. Les styles de management

Le style de management désigne la faon de diriger une organisation. Il se caractérise par la manière de prendre des décisions et de partager le pouvoir au sein de l’entreprise. Rensis Likert (1903-1980) a distingué quatre styles de management

Style autoritaire exploiteur

Ce style est fondé sur les menaces et les sanctions. Le manager prend seul toutes les décisions. Les subordonnés appliquent les ordres sans jamais consultés

Style autoritaire paternaliste

Le manager est proche de ses salariés, avec qui il entretient des liens affectifs forts. Il prend seul les décisions.

Style consultatif

Le manager demande l’avis de ses subordonnés avant de prendre seul la décision finale

Style participatif

Tous les membres de l’entreprise participent à la prise de décision. Ce type de management permet d’avoir des salariés impliqués, car ils peuvent s’exprimer et prendre des initiatives.

2. Les parties prenantes et les contre-pouvoirs

1. Les parties de l’entreprise

Les parties prenantes sont constitués par l’ensemble des acteurs ou des groupes d’acteurs qui peuvent avoir une influence sur l’entreprise et exerce un contre pouvoir lorsque leurs intérêts sont menacés

2. Les contre-pouvoirs dans l’entreprise

Selon Michael Crozier, l’entreprise est le théâtre de jeux de pouvoir où les individus cherchent à préserver leur capacité d’action et d’influence. Il existe au sein de l’entreprise des zones d’incertitudes qui correspondent au pouvoir détenu par certains individus du fait de leur expertise, de leur savoir faire, de leur connaissance. Ces acteurs vont exercer des contre-pouvoirs lorsque leur influence est remise en question

3. La prise en compte des parties prenantes et des contre-pouvoirs

Pour tenir compte des intérêts des parties prenantes aussi bien internes (salaires) qu’externes (client, ONG, collectivités locales), la finalité de l’entreprise n’est plus uniquement lucrative (faire du profit), elle possède maintenant des dimensions écologiques, sociales et sociétales dans le cadre d’une démarche RSE.

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