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Les systèmes en management

Fiche : Les systèmes en management. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  9 Mars 2019  •  Fiche  •  1 708 Mots (7 Pages)  •  377 Vues

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Les systèmes managériaux

        De gouvernement à la gouvernance de l’entreprise :

Définition :

Le gouvernement de l’entreprise ou sa gouvernance est la direction de la conduite des affaires qui résulte de la conjugaison des efforts des manager-dirigeants d’une part et des membres de la structure de haute direction constitué entre autre du conseil d’administration d’autre part.[pic 1][pic 2][pic 3]

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La gouvernance d’une entreprise est la « management du management ». elle reflète la nature des relations entre la direction de l’entreprise et ses parties prenantes (dont les actionnaires.)

  • 1940-1950 : changement par rapport au rôle de l’entrepreneure-actionnaire qui ne dirige plus, les complications grandissantes exigent que celles-ci soient pratiquée en groupes.

Nouveau but : croissance de l’entreprise et sa pérennité économique

Dans les années 40-50, l’actionnaire-propriétaire n’est plus forcément dirigeant, la direction devient l’affaire du gestionnaire-spécialiste dont le but est d’assurer la pérennité économique de l’entreprise.

c) l’émergence de la nouvelle économie :

Rupture avec le capitalisme fordiste et la crise :

  • Choc pétrolier :
  • Augmentation des prix du pétrole
  • Limite des productions de masse fordiste :
  • Méthodes de gestion des entreprises des concurrents Allemand et Japonais, concept du « zéro défaut – zéro contrôle » et « gestion de la qualité totale ».

Approche qui prônent la confiance envers les personnes qui exécutent le travail de base et qui sont capables de praticité au processus d’améliorations de l’entreprise.

  • Intégration des TIC :
  • Plus d’emplois
  • TIC qui entrent dans le processus de production
  • Chaine de production plus flexible
  • Travail immatériel (travail de pub)
  • Accumulation importante sur les clients et proposer des produits sur mesure

Les TIC et les marchés financiers contribuent à l’émergence de la « nouvelle économie » dans les années 80 qui repose sur le capitalisme à la fois financier et cognitif.  Capitalisme dont le moteur est l’innovation.

  • Le capitalisme cognitif se fonde sur la mobilisation des connaissances dans les processus de productions tangibles et intangibles, sur l’apprentissage et la formation, sur la mobilisation massive des technologies.

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 La déréglementation des marchés financiers :

Deux crises qui ont mis l’économie américaine en état de quasi-faillite en entrainant une part importante de l’économie mondiale :

  • 2001 : éclatement de la bulle spéculative
  • 2008 : effondrement des titres des préteurs qui avaient misées sur des prêts hypothécaires à haut risque.
  • Le capitalisme financier (reposant sur la spéculation de titre d’entreprise) désigne l’ensemble des acticités spéculatives qui visent à maximiser les gains dans le délais le plus court possible. (Plus de 90% des capitaux disponibles sur le marché mondiaux sont consacrés aux activités spéculatives plutôt qu’au activités de production)

Le capitalisme financier désigne un système économique basé sur des activités de spéculations financières.

Rapport entre les deux capitalismes : Dans un système capitaliste, une connaissance commence à exister dès qu’il est possible de la capter et de l’intégrer dans un processus de création de valeur.

Deux catégories de connaissances :

  • La connaissance désintéressée : pour notre propre satisfaction  
  • La connaissance intéressée : pour se l’approprier et la monnayer

  • Propriété intellectuelle et brevet sont des moyens  de marchandisation de la connaissance et les leviers de la nouvelles économie. La marchandisation consiste à transformer une partie du savoir acquis par l’intelligence humaine en compétence ou qualification rémunérées.  [pic 32]

Le capitalisme : Culte de la propriété privée :

Elle est au cœur de l’idéologie économique qui influence notre système managériale. Deux théories, celle des actionnaire et celle des parties prenantes :

Actionnaire

Parties prenantes

Propriétaire partiel de l’entreprise et patron, cherche à éviter toutes contraintes dépense ou responsabilité sans rapport direct avec la maximisation de la valeur de son actif. La pérennité à long terme de son entreprise ou le sort de ses employés lui échappent.

Relation avec l’entreprise : indirecte, fictive

But : maximisation des capitaux dans un délai court

S’il veut transférer ses droits de propriété, il est dans son intérêt d’en accroitre la valeur durable et pas seulement économique  

Une entreprise créer de la valeur à partir du moment où elle participe à assurer la gestion des intérêts et des besoins d’un ensemble de parties prenantes.

Créer du profit sociale, qui va profiter à l’ensemble des parties prenantes (créer du profit au sens large).

But : pérennité de l’entreprise à long terme

Le capitalisme cognitif/financier qui encadre le système managériale contemporains est marqué par la recherche d’un portefeuille spéculatif à maximiser plutôt que d’un patrimoine industriel à pérenniser.

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