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Genre et sciences sociales

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Par   •  21 Avril 2016  •  Fiche  •  2 523 Mots (11 Pages)  •  1 073 Vues

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Genre et sciences sociales

Intersectionnalité → imbrication + simultanéité des rapports sociaux. Concerne tout le monde.

4 travaux. Travail considéré ou non ?

Mouvements sociaux qui produisent les connaissances ou du moins qui permettent de dépasser les évidences. Ce sont des productions collectives

La contraception et l'avortement étaient autorisés jusqu'au années 20, lorsqu'il a fallu « repeupler » la France contre les allemands.

Pendant les années 60-70, la lutte était centrée sur : la grossesse, le divorce, autonomie par rapport aux institutions.

Christine Delphy qui est une de celles qui ont contrubiué à fonder théoriquement le mouvement féministe en France → « L'ennemi principal » (article)

G.Rubin, 1975, Notes sur l'économie politique du siècle : (CEDREF) réfléchit sur l'économie politique du sexe, dans ce texte fait une grosse critique à un certain nombre dauteurs (elle est anthropologue), elle critique Levy Strauss, qui a étudié la division sexuelle du travail : pour lui, cette division est liée à un tabou de la similitude, elle même due à une recherche de la dépendance mutuelle

Selon Rubin, LS a presque fait une théorie de l'hétérosexualité.

Mariage entérine de manière légale des pratiques.

Travail non payé amène entretien à la place du salaire

Delphy : 2 modes de production : capitalistique / domestiue ou patiarcal, dans lequel le salaire ets remplacé par l'entretien et le contrat de W par un contrat de mariage où la personne à la place de l'épouse cède sa force de W contre un entretien. La socialisation nous conduit à l'une ou l'autre des formes de travail. Delphy, dans mariage et divorce : une des choses que les femmes sont maneées à se marier, c'est aussi parce qu'elles ne s'en sortient pas. Développement de l'idée d'un salaire familial , idée par patrons et syndicats, on verse à la femme un salaire → elle ne travaille pas. Symétrie annihilée par l'organisation du marché du travail → salaire de la femme vue comme un salaire d'appoint.

Mouvements féministes → revendications

Cours du 04 mars 2015

Epistémologie : réflexion sur les conditions de production du savoir, sur les méthodes de production de savoir, et plus précisément sur la validation des sciences. Comment on sait ce qu'on sait, mais surtout il peut y avoir une dimension plus ou moins philosophique, ou plus ou moins technique. On a essayé de voir comment la production de savoir était lié à l'académie, à l'université, aux instituions légitimes de légitimation des savoirs[1]. Par exemple, les universités : Althusser, à la suite de Gramsci a considéré que université était une institution qui produisait et légitimait des savoirs, au nom de l’État. Les AIE (appreil idéologique d'état) tendent à être androcentriques et eurocentriques et on a vuqu'en réalité, c'est notamment sous l'impulsion de différents mouvements sociaux que ces savoirs ont pu être remis en cause, qu'on a pu se demander comment se produisait le savoir : notamment le mouvement féministe, les mouvements noirs ou antiracistes. Ces mouvements interrogent le corpus dominant et produisent des savoirs & épistémologies alternatives.

Penser le genre ?

On va voir comment on a pensé le genre dans l'université, puis on regardera comment les mouvements féministes ont influencé ces reflexions.

Le genre a été théorisée en premier par Simone de Beauvoir avec Le IIème sexe. Margaret Mead → il y a des rôles sociaux de sexes qui sont variables entre les sociétés : c'est pas la nature, c'est la culture. Premier « coup de pied dans la fourmilière », première reflexion sur le genre en anthropologie. Par ailleurs, elle montre que des sociétés non occidentales peuvent être égalitaires.

Etude reste sans suite jusqu'à Simone de Beauvoir. Là, on est dans la réflexion sur les rôles de sexe.

Puis, Stoller, dans les années 60 travaille en psychosociologie, et il travaille sur les enfants intersexes[2]. En travaillant sur ces enfants, et les enfants hermaphrodites[3]. Il s'interroge sur la caractéridation du sexe et les rôles sociaux qui sont liés. Il montre d'une certaine manière que c'est pas naturel, que ça dépend de l'éducation et qu'elle permet de transformer pas mal de choses.

Ann OAKLEY, britannique, sociologue. EN 1972, elle écrit Sexe Gender & Society où elle systématise à la fois la relfexion de Mead, de Stoller, de Beauvoir. Le mouvement féministe a commencé à exister, donc dans ce cadre elle théorise l'idée de l'existence d'un système sexe/genre, où les rôles sont différents et inhérents. Le sexe représente une disposition naturelle différente alrs que le genre représente des rôles culturels différent → distinction mâle/homme, femelle/femme, sexe/genre. Inégalité dans cette différence.

Garfinkel & Goffman : ethnométhdologues & interractionnistes. Ont développé conceptions du microquotidien : consiste à on joue un rôle et on essaie de convaincre les uatres qu'on est bien qui on est censées être. 77 : L'arrangement des sexes (GOFFMAN). S'appuie sur le cas d'Agnès, un homme qui devient une femme. L'idée est à travers un cas particulier, transexuelles, il va étudier comment elle convainct tout le monde qu'elle est une femme. Dans la vie sociale, on ne voit pas les organes gé,otaux des gens, et pourtant on les catégorise très vite.

Comment peut-on tromper les autres facilement alors qu'on a un corps masculin ? La socialisation est basée sur système de récompense sanction, qu'Agnès avait bien compris.

Certaines activités sont plus ou moins féminines. Il existe des tests de féminités, en analysant les hormones, auxquelles sont parfois soumises les sportives de haut niveau.

Les femmes doivent faire le maximum mais rester à leur place sociales quand même → ordre contradictoire. On doit faire ce que le groupe dominant, mais sans en faire trop, et ne pas devenir du groupe dominant.

Exemple du « parler fort ». Ceux qui sont censés parler fort sont les hommes. Quand les femmes noires parlent fort, cela choque → caracyère fondamentalement, social, historique, culturel des rapports sociaux.

Différences entre les modèles de féminités selon les cultures.

Ain't I a woman ? → Je ne suis pas une femme à l'image des bourgeoises femmmes, mais je suis une fmme (convention sur le droit de vote des femmes, elle est montée à la tribune poru défendre des drotis spécifiques).

Tout ça va autour de l'idée que le genre n'est pas naturel, qu'i lest construit en même temps que, ou m        arqué par la classe sociale ET la race et cela va dans le sens de ce système sexe genre, proposé par Oakley. Sur qch qui était une simple différence naturelle, a été crée une différence et une inégalité culturels.

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