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Culture général rédaction synthèse

Cours : Culture général rédaction synthèse. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Octobre 2015  •  Cours  •  926 Mots (4 Pages)  •  661 Vues

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Au jour d’aujourd’hui, la population est branché technologie. Beaucoup achètent les tablettes tactiles, les iPads. Maintenant tout est devenu incorporel comme la musique, les livres, les films. Les personnes préfèrent maintenant les abonnements aux achats. Le document 1 est un article « L’Autobiographie des objets, Éditions  du Seuil, 2012 » François BON. Le second document est un article du site Radioactivité.com «une chronique des accidents survenus à la centrale de Fukushima». Ensuite le troisième document est un article du quotidien Le Monde intitulé « La culture à l’heure de l’abonnement numérique »Le prochain article fut écrit par M. ELTCHANNINOFF, « L’iPad ou la tentation du superflux » sortit du Philosophe magazine, N°41, juillet-août 2010. Et pour finir, le dernier document est une photographie montant la Fabrication des téléphones portables à la chaîne en Asie.

Le temps passe et l’on peut s’apercevoir que la technologie prend de plus en plus de place dans le quotidien. Nos livres, nos CD, nos DVD sont remplacés par les tablettes et les iPads, des objets qui ont une durée de vie très limitée.

Dans l’introduction de son livre, François BON, constate que sa génération est passée du monde des objets au monde des jetable. François BON affirme que ces objets ont une durée de vie délibérément limitée dont le but est de contraindre son possesseur à le remplacer régulièrement. L’auteur de l’Autobiographie des objets nous confie que l’ancien nous émeut : pas parce que on l’a connu dans l’enfance mais le temps tout entier qui surgit et ce qu’on n’a pas su en faire.

François BON explique dans l’Autobiographie des objets, qu’au fil des années il faut jeter l’ancien pour le remplacer par ce qui est tellement mieux. François BON considère cette situation comme une danse. François BON pense aussi que c’est une fête, par cela il entend le questionnement sur le monde, par la vitesse, les avions, les villes découvertes. Selon M. ELTCHANNINOFF, davantage encore que les applications de l’iPhone, elle vise ramener l’image du numérique vers le concret : livre que l’on peut lire comme un réel qu’un vieux bouquin, le bloc au feuille jaune sur lequel on peut gribouille, comme le confirme l’auteur de l’Autobiographie des objets dit que ce que l’on apprend à pianoter avec non doigts sur le plastique ou l’écran tactile du téléphone qui nous apporte des musiques inouïes, des livres rares, ainsi que l’état précis des routes et des trains. D’après l’article intitulé « La culture à l’heure de l’abonnement numérique » du quotidien Le Monde, nous informe qu’après une décennie de recherche, principalement liée à l’apprentissage du numérique, les industries culturelles ont réussies à réinventer leur modèle économique pour passer d’une  logique de stock à une logique de flux, les achats laissent la place aux abonnements. Selon le quotidien Le Monde certaine plateforme comme Spotify, Deezer ou Netflix donnent l’accès à un grand nombre de musique, film et à séries, visionnables à volonté, sans téléchargement. Selon l’article intitulé « L’iPad ou la tentation du superflux » de M. ELTCHANNINOFF, ce mélange haute technologie et de familiarité signe la politique de Steve Jobs, un entrepreneur américain qui est le mythique fondateur d’Apple. Celui-ci a fait de l’iPhone un couteau suisse (boussole, lampe de poche, niveau, appareil photo dictaphone, carte géographique, thermomètre, etc.). Le fondateur veut faire l’iPad un objet aussi simple et indéterminé qu’une assiette.

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