Tsunami en Asie du Sud-est, 2004.

Tsunami en Asie du Sud-est, 2004

Aujourd’hui, nous allons vous présenter un dossier sur le tsunami de l’Asie du sud-est en 2004. Premièrement, nous allons vous présenter une vidéo qui va nous remonter en arrière.

Alors nous avons organisée notre dossier en trois grandes parties

Explication du sommaire

Introduction :  

Comme on put le voir sur la vidéo flashback, aujourd’hui nous allons parler d’un tsunami en Asie du sud-est en 2004. Premièrement, laissez-moi vous définir le mot tsunami, un tsunami est un désastre marin dans lequel une vague soudaine, énorme et dévastatrice est provoquée par une action sismique qui dans le cas que nous allons étudier. Si vous ne savez pas ce qu’est un séisme c’est tout simplement un mouvement brusque ou secousse de l’écorce terrestre, produit à une certaine profondeur, à partir d’un épicentre. Le 26 décembre 2004, à 7h58 heure locale un séisme de magnitude très élevé  a eu lieu dans l’océan indien. Le tsunami ravagea les pays de ses alentours. Le séisme qui causa se tsunami est le 2eme séisme le plus puissant jamais enregistré. Celui-ci toucha de nombreux pays dans l’océan indien toucha même l’Afrique de l’Est. Il fit de nombreux morts et de blessés ainsi que beaucoup de dégâts matériels. Les pays perdirent beaucoup d’argents et eurent du mal à se reconstruire, ce qui causa des énormes traumatismes pour chacun des habitants.

1. Tsunami en Asie,  2004

1.  Un tsunami et un séisme exceptionnel

Le séisme du 26 décembre 2004 s’est produit dans l’Océan Indien au large d’une ile indonésienne de Sumatra avec une magnitude très élevé 9,1 à 9,3 comme on peut le voir sur cette carte. L'épicentre se situe à la frontière des plaques tectoniques eurasienne et australienne comme on peut le voir sur cette autre carte. Depuis plusieurs années, la région avait connu une période sans séisme important. Ce tremblement de terre a eu la quatrième magnitude la plus puissante jamais enregistrée dans le monde. Le tremblement de terre a provoqué vingt minutes plus tard un tsunami allant jusqu'à plus de 35 mètres de hauteur à 800 km/h dans certaines régions comme en Indonésie qui a frappé les pays de l’Asie du Sud mais aussi les pays de l’Afrique de l’est.

1. Avant le séisme et le Tsunami

Avant cet incident naturel, il n’y avait pas de d’outils de prévention de tsunami et de séisme , ceci est dû dans certaines régions à une raison budgétaire par exemple en Indonésie ou encore dans certaines régions comme dans les  pays d’ Afrique de l’est a une raison d’historique de tsunami c’est-à-dire qu’avant il n’y avait pas de tsunami dans ces provinces.

De plus la plus part de la population dans ces régions n’était pas informée sur le risque que peut amener un tsunami ou un séisme et quelle sont les signes précurseur. Dans les écoles de  ces régions-là, il n’y pas de cours de prévention sur les tsunamis et les séismes. Pour cause certaine personnes  ne connaissait pas les phénomènes naturels du séisme et du tsunami. Ceci est dû à une raison budgétaire dans les espaces publiques mais aussi d’absence d’expérience car par exemple à Simeulue en Indonésie, les populations ont en effet détecté très tôt la menace du tsunami grâce à leur connaissance des signes précurseurs. De plus, on retrouve moins de victime sur cette ville que la moyenne. On peut en conclure que la gestion avant le séisme et le tsunami est n’est presque pas présente et pas du tout optimale. De plus, quelques régions touchées par ce tsunami étaient en difficulté politique et économique comme en Indonésie. Il y avait aussi des régions en guerre comme à Aceh en Indonésie.

1.  Dynamisme d’un tsunami

Je te le donne après

1. Une catastrophe sans précédente  

1.  Conséquences immédiates

Les conséquences immédiates de cette catastrophe naturelle sont que des milliers de personnes sont morts, blessés, disparu et déplacés. Pour anecdote, les touristes et les habitants dans certaines régions voyant le retrait de la mer avant le tsunami sont allée prendre des coquillages et des poissons comme on peut le voir ce dessin. Ceci montre bien que des personnes ne connaissaient pas les signes précurseurs d’un tsunami.  De plus, de milliers d’habitats ont été détruit ou endommagés ce qui oblige aux personnes pris au piège de passer plusieurs nuits sans abris. En plus, des zones touristiques ont été touchées par le tsunami comme aux Maldives qui est lieu très prisée par les touristes. A cause des morts un peu partout sur les lieux de la catastrophe et l’eau contaminée par le tsunami, il y a un fort risque épidémique avec le développement du choléra et de la dysenterie. Dans certaines régions, il y a eu des organisations illégales qui ont profité du tsunami pour faire par exemple du trafic d’enfants ou encore du commerce avec des t-shirt payant ou il y avait écrit «  J’ai survécu au Tsunami ». De plus, pendant 2 jours les hôpitaux et services médicaux était indisponible dans certaines régions à cause du tsunami. Pour finir, il y a eu bien sûr un impact immédiat sur l’environnement des régions touchées  avec par exemple la salinité des terres.

1.  Gestion pendant la catastrophe

Pendant la gestion de cette catastrophe, il y a quelques problèmes de logistiques avec l’arrivée des secours et l’évacuation des victimes. Ceci est dû au réseau routier endommagé dans les régions touché qui n’est pas accessible d’accès comme on peut le voir sur cette  photo. L’arrivée tardive des secours par voie terrestre était donc compromise. L’arrivée des secours par voie aérienne fut aussi tardive en raison de deux problèmes de logistique : d’une part le nombre d’avions et d’hélicoptères  disponibles était limité ; d’autre part les aéroports furent  très vite débordés, car ils ne possédaient  pas la capacité d’accueillir  tous les secours et une aide humanitaire en provenance du monde entier. De plus, les hôpitaux et les services médicaux furent débordés avec les milliers de blessés. Face à cette catastrophe, il y a un impact au niveau de la générosité publique dans le monde entier car l’organisation non gouvernementales donc ONG ont collecté énormément de dons par exemple les organisations non gouvernementale ont récolté 356 millions d’euros de dons. Ainsi, au 14 février 2005, il n’y avait pas moins de 97 ONG, 42 organisations gouvernementales et 25 organisations internationales qui étaient présentes sur la seule île de Sumatra en Indonésie. Durant les jours qui suivent le tsunami de 2004, les Nations unies (ONU) demandent rapidement l'assistance internationale qui provient principalement des États-Unis, du Japon et de la France. L'ONU n'a jamais connu une catastrophe qui a couvert autant de territoire. En effet, douze pays ont besoin de secours dont l'Indonésie, le Sri Lanka, la Thaïlande et l'Inde. Par exemple, la France à donner 600 millions d’euros au pays concernés, les Etats-Unis à donner 700 millions d’euros et le Japon à donner 500 millions d’euros. L’Allemagne est le pays qui à donner plus d’argent avec 1.1 milliard d’euros. Les ONG et les aides internationales ont su réglé le risque épidémique et secourir des milliers de personnes.  

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