Traduction " Meine Beste Feindin... "

"Mon chef d'équipe m'a soufflé en bas constamment et m'a donné des tâches ennuyeuses", a déclaré Heike Jensen rappelle son emploi à laser spectacles une agence de. "Permettez-moi de négocier avec le client," le patron "débusquer vous êtes seulement Bürokauffrau et n'a pas été étudiée. Préférez le lave-vaisselle!» Dit, par exemple, Ou, "Pas étonnant que tu me entends bien avec nos travailleurs d'entrepôt, tout comme les blondes."

Pour Heike Jensen c’était tout bon. Parce qu'elle a réalisé: Votre adversaire a peur de la concurrence. «Mon patron m'a vu comme un rival», dit Heike Jensen, "et donc je me suis soudain rendu compte que je étais assez bon étais d'un travail plus exigeant.

Au fil du temps, il est devenu de plus en plus clair que Heike Jensen pourrait mieux traiter avec les clients et avait plus de connaissance de la logistique. Comme une position de chef d'équipe est devenu vacant dans une autre société, a demandé - et a été prise: «Je n’aurais jamais osé faire rivalité a renforcé ma confiance.". La concurrence peut nous conduire à réaliser de grandes choses; nous montrer qui nous sommes et où nous voulons.

À première vue, c’est bien. Ce est, par exemple, dans des histoires comme celle de Katja Willmers *. L'économiste d'entreprise avait demandé un chef de département d'emploi dans son entreprise. Tout comme son collègue. Puis la décision plus qui a obtenu le poste a été reportée, mois après mois.

Le rapport des deux dames était plus compliqué. "Et tout à coup dit mon collègue partout que je voudrais angraben notre patron." Une fois caché documents importants, même rivales qui Katja Willmers pour leur travail vraiment nécessaire pendant des semaines dans le tiroir du bureau.

Ils étaient plus que ses rivaux. L'ambiance entre eux était glacée. Ils étaient des ennemis. La remarqué un certain point les décideurs dans la gestion de l'entreprise. Ils ont décidé à la fin de prendre un homme.

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