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Tecnhologie De Pointe

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Par   •  22 Mai 2015  •  1 763 Mots (8 Pages)  •  674 Vues

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Plan

INTRODUCTION

I-GENESE, EVOLUTION, LES ETAPES ET LES METHODES DU TRANSFERT DES TECHNOLOGIES

A- Genèse du transfert des technologies

1- Historique du transfert des technologies

2-Evolution du transfert des technologies

B- Les étapes et les méthodes du transfert des technologies

1- Les étapes du transfert des technologies

2- Les méthodes du transfert des technologies

II-LESACTEURS ET LES PRINCIPALES MODALITES DE TRANSFERT DES TECHNOLOGIES

A- Les acteurs du transfert des technologies

1- Le transfert des technologies nord-sud

2- Le transfert des technologies depuis larecherche académique et dans l’industrie

B- Les principales modalités des transferts de technologie

III-IMPACT DES TRANSFERTS DES TECHNOLOGIES SUR LES RELATIONS ECONOMIQUES INTERNATIONALES

1- Lerenforcement du protectionnisme

2- La problématique du transfert des technologies pour les pays en développement et les pays pauvres

3- Les détenteurs de technologie ne veulent pas partager leurmonopole

Le mot technologie désigne l'étude des outils et des techniques. Ce terme se réfère à tout ce qui peut être dit à plusieurs périodes historiques particulières, concernant l'état de l'art dans tous les domaines des savoir-faire pratiques et d'utilisation des outils. Il inclut donc l'art, l'artisanat, les métiers, les sciences appliquées et éventuellement les connaissances. Par extension il peut aussi se référer aux systèmes ou méthodes d'organisation qui permettent une telle technologie, ainsi que tous les domaines d'études et les produits qui en résultent.

Étymologie

L'étymologie du mot technologie renvoie toujours au sens moderne, il vient du grec technología (τεχνολογία) téchnē (τέχνη), « art », « compétence », ou « artisanat » et -logía (-λογία), l'étude de quelque chose, ou d'une branche de connaissance d'une discipline1. Le Petit Robert indique que le mot est emprunté en 1656 au grec tardif tekhnologia « traité ou dissertation sur un art, exposé des règles d'un art », de tekhnê et logos. La notion a ensuite été utilisée en 1772 par un physicien allemand Johann Beckmann. Le terme peut soit être appliqué généralement, soit dans des domaines spécifiques, par exemple : « technologie de construction », « technologie médicale », ou « la technologie de l'état de l'art ».

Histoire

paléolitique

Les premiers représentants du genre Homo sont le résultat d'une évolution à partir d'hominidés qui étaient déjà bipèdes4, avec une masse cérébrale d'approximativement un tiers de celle de l'homme moderne5. Les outils ont relativement peu évolué durant la plus grande partie de l'histoire humaine. Cependant, il y a environ 50 000 ans un ensemble complexe de comportements et d'utilisations d'outils a émergé. Certains archéologues y voient un lien avec l'émergence du langage structuré6.

Les ancêtres des hommes modernes ont utilisé des outils en pierre bien avant l'émergence d'Homo sapiens il y a 200 000 ans7. Les plus anciens outils de pierre connus, regroupés sous le nom de Pré-Oldowayen ou d'Oldowayen, datent d'il y a 2,3 millions d'années8. Des traces interprétées par leurs inventeurs comme des traces d'utilisation d'outils ont été observées sur des ossements découverts en Éthiopie dans la Vallée du Grand Rift. Elles datent d'il y a 2,5 millions d'années9 voir de 3,4 millions d'années10,11 Ces premières utilisations de la pierre marquent le début du Paléolithique, qui s'achève avec le développement de l'agriculture il y a environ 12 000 ans.

Biface de Saint-Acheul obtenu par façonnage, collection Félix Régnault, Muséum de Toulouse.

Pour fabriquer les plus simples outils en pierre, un bloc de roche dure aux propriétés mécaniques particulières, comme le silex, devait être frappé avec un percuteur également en pierre de façon à en détacher un éclat. Cette action produit un bord tranchant à la fois sur le bloc taillé et sur l'éclat qui en a été détaché, tous deux pouvant être utilisés comme outils. Les formes les plus simples sont le galet taillé et l'éclat, qui peut être transformé en racloir. Avec ces outils, les premiers humains, chasseurs-cueilleurs, ont pu exécuter différentes tâches, dont la découpe de la viande, la fracture des os pour accéder à la moelle osseuse, la coupe du bois, l'ouverture des noix, le dépouillement des carcasses animales pour récupérer la peau, et, par la suite, la fabrication d'autres outils avec des matériaux plus tendres comme l'os et le bois12. Les premiers outils en pierre sont relativement peu élaborés techniquement mais impliquent la maîtrise d'un nombre important de paramètres (choix de la matière première, choix du percuteur, intensité du coup, angle de percussion, etc.) hors de portée de tout espèce animale à l'exception de l'homme13. À l'Acheuléen, il y a 1,65 million d'années, de nouvelles méthodes de taille de la pierre apparaissent (façonnage), se traduisant par la production d'outils plus complexes comme le biface ou le hachereau. Il y a 300 000 ans, le Paléolithique moyen est caractérisé par la généralisation du débitage Levallois, permettant la production de séries d'éclats de forme prédéterminée aux dépens d'un même nucléus. Au Paléolithique supérieur, il y a environ 35 000 ans, le débitage de lames se généralise et permet la production de nouveaux outils (burin, grattoirs, etc.). La technique de la retouche par pression (attestée dès le Middle Stone Age en Afrique du Sud14) est utilisée pour retoucher certaines pointes de projectiles telles que les feuilles de laurier ou les pointes à cran15.

La découverte et l'exploitation du feu est un véritable tournant de l'évolution technologique du genre humain16. La date exacte de sa découverte est inconnue. La présence d'os d'animaux brûlés dans la région du Cradle of Humankind, à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Johannesburg, suggère que la domestication du feu est apparue avant 1 million d'années avant le présent17. La communauté scientifique est quasiment unanime pour considérer que Homo erectus a contrôlé le feu aux alentours de 500 000 à 400 000 avant le présent18,19. Le feu, alimenté avec du bois, mais également avec du charbon, permettait aux premiers hommes de cuire leur nourriture et d'en améliorer la digestibilité, la conservabilité et la valeur nutritive en diversifiant la variété des préparations possibles20.

Aiguille en os magdalénienne, Muséum de Toulouse.

D'autres avancées technologiques ont été faites pendant le Paléolithique, ère où sont apparus le vêtement et l'habitation. L'adoption respectivement de ces deux pratiques ne peuvent être exactement datées, mais elles ont l'une et l'autre une position clé dans l'histoire du progrès de l'humanité. Les vêtements, adaptés de la fourrure et des peaux des animaux chassés, aidaient les êtres humains à évoluer plus indifféremment dans des régions plus froides21.

Du Néolithique à l'Antiquité classique

L'ascension technologique de l'Homme s'est accélérée lors de la période néolithique (« Nouvel âge de pierre »). L'invention de la hache en pierre polie fut une avancée considérable car elle a permis le défrichement à grande échelle des forêts ouvrant la route future à la création de fermes. La découverte de l'agriculture a permis l'alimentation d'une plus grande population, mais aussi la transition vers un mode de vie sédentaire qui augmenta le nombre d'enfants qui pouvaient être simultanément élevés, vu que les jeunes enfants n'avaient plus besoin d'être transportés comme c'était le cas avec un style de vie nomade. En outre, les enfants pouvaient contribuer aux tâches agricoles de manière plus constante que dans un mode de vie chasseur-cueilleur22,23.

L'augmentation de la population et de la force de travail disponible ont autorisé un accroissement de la spécialisation des tâches24. Par contre, il reste à clarifier pourquoi et comment des villages néolithiques ont évolué vers les premières villes, comme Uruk, et vers les premières grandes civilisations comme Sumer. On pense cependant que l'émergence de structures sociales de plus en plus hiérarchiques, la spécialisation des tâches, le commerce et la guerre entre cultures adjacentes, et le besoin d'action collective pour surmonter les défis environnementaux, tels que la construction de digues et de réservoirs, ont tous joué un rôle dans cette évolution25.

Une progression continuelle et qui amènera ultérieurement par exemple, au fourneau, et à sa ventilation, a fourni la capacité à fondre, et à forger, d'abord les métaux les plus accessibles (ceux qui sont présents dans la nature sous une forme relativement pure)26. Les premiers métaux ainsi travaillés étaient l'or, le cuivre, l'argent et le plomb. Certains avantages des outils en cuivre sur ceux en pierre, en os, ou en bois sont apparus rapidement et les outils en cuivre ont probablement été utilisés pour la première fois vers le début du Néolithique (environ 8000 avant J.C)27. Le cuivre ne se trouve pas naturellement en grande quantité mais il se trouve assez communément dans le minerai de cuivre et on le transforme assez facilement quand on le brûle à l'aide du feu alimenté au bois et au charbon. À la longue, le travail du métal finira par conduire à la découverte des alliages tels que le bronze et le laiton (vers 4000 avant J.C). Les premières utilisations d'alliage de fer tel que l'acier datent d'il y a environ 1400 ans avant J.C.

Avantages, inconvénients et risques de la technologie

Par L'Équipe d'Économie Solidaire le 1 mai 2010 dansDeveloppement durable

Dans le monde d’aujourd’hui, on ne saurait vivre sans les technologies comme l’ordinateur, le téléphone mobile, la télé et autres. Ces technologies sont devenus partie intégrante de notre quotidien et vivre sans elles serait pour certains d’entre nous inimaginable.

Avantages de la technologie

La technologie a de nombreux avantages. Elle simplifie la vie de tous les jours. Prenons l’exemple d’une machine à laver. On imagine mal de nos jours comment on s’y prenait pour laver ses vêtements avant son invention. Mais, c’était du dur labeur ! Presque toutes les technologies populaires allant du téléphone à la voiture ont pour objectif final de réduire l’effort des humains.

Un deuxième avantage, c’est la communication et la mobilité. Les systèmes de communication modernes ont réduit radicalement le temps de communication entre deux personnes. Aujourd’hui, la communication entre différents pays est presque instantanée. Ceci aide énormément le développement d’un vrai village global. Le temps de voyage est aussi considérablement réduit. On peut aujourd’hui gouter aux fruits et légumes frais qui hier encore se trouvaient dans leurs vergers à l’autre bout du monde.

Le tourisme mondial s’est développé en conséquence. La technologie a aussi augmenté la productivité de presque toutes les industries du monde. On produit plus, utilisant moins de ressources et pour un plus grand nombre de personnes.

Inconvénients et risques de la technologie

Mais, rien ne vient gratuitement. La technologie a des inconvénients qu’on ne peut plus ignorer. Bon nombre de technologies polluent l’environnement d’une façon ou d’une autre. La voiture produit son lot de CO2 ; l’ordinateur est difficilement recyclable ; et l’industrie pollue la nature. De plus, nous sommes devenus très dépendants des technologies, à un point où on ne peut s’en passer. Par exemple, on dit que les Japonais ne peuvent vivre sans électricité que pendant trois minutes ; dépassé ce seuil tous les standards explosent d’appels de protestation !

Plus de travail fait par les machines, cela veut dire moins de travail pour les hommes. L’humain devient de plus en plus obsolète.

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