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Système respiratoire

Dissertation : Système respiratoire. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Septembre 2021  •  Dissertation  •  1 202 Mots (5 Pages)  •  373 Vues

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Introduction

Tout d’abord, la pression artérielle est la pression sanguine dans les artères, elle dépend aux trois facteurs suivantes : le débit cardiaque (Dc), le volume sanguin (VS) et la résistance périphérique totale (RPT) (Reece et autres, 2012).  En effet, le débit cardiaque correspond au volume de sang éjecté par minute par chaque ventricule, il est un produit de la fréquence cardiaque (fc) et du volume systolique (Reece et autres, 2012). Le rythme cardiaque est le nombre de battements ou le nombre de contractions de cœur par minute; le volume systolique est la quantité de sang expulsé par le ventricule gauche à chaque contraction du cœur (Reece et autres, 2012). Ce volume varie très peu, c’est la raison à laquelle, la fc a une grande influence sur le Dc et par conséquent sur la pression sanguine (Reece et autres, 2012). De plus, la variation de la fc est liée aux deux facteurs, le premier est le système nerveux autonome (SNA) et le deuxième est le système endocrinien lié aux hormones (Reece et autres, 2012). En effet, l’adrénaline peut être provoquée par le système endocrinien, elle agit sur le cœur comme un système nerveux autonome sympathique (SNAS) qui est un des deux (SNA) (Reece et autres, 2012). De plus, le système adrénergique stimule l’augmentation de la fc et du Dc de repos et à l’exercice sous-maximal (Jean-Paul Richalet, 2012). Le (VS) et (RPT) sont directement proportionnels à la pression (Reece et autres, 2012).  La viscosité du sang, la longueur et le diamètre des vaisseaux sanguins sont des facteurs qui causent la variation de RPT (Reece et autres, 2012). De fait, la vasodilatation (muscles des artérioles se relâchent) est lié au SNAS non activé entraînant une baisse de pression et la vasoconstriction (muscles des artérioles se referment) est lié à l’activation de SNAS entraînant une augmentation de la pression qui peuvent faire varier le diamètre des vaisseaux sanguins, ils sont sous le contrôle du SNA (Reece et autres, 2012). En gros, la pression artérielle est un résultat d’une division entre la pression systolique (contraction) et celle de diastolique (repos) (Reece et autres, 2012). Quant à la respiration aussi appelée la ventilation, ce dernier est lié au système cardiovasculaire ainsi qu’au système respiratoire (Reece et autres, 2012). Les trois processus de la respiration sont la ventilation pulmonaire qui est le déplacement de l’air, la respiration externe permet les échanges gazeux entre les alvéoles des poumons et les vaisseaux sanguins, et la respiration interne permet les échanges gazeux entre les capillaires sanguins et les cellules du corps (Reece at autres, 2012). L’inspiration permet l’entrée de l’air et l’expiration permet la sortie de CO2, ils sont les deux phases de la ventilation (Reece et autres, 2012). En effet, le système respiratoire permet l’entrée d’oxygène dans l’organisme et l’élimination du dioxyde de carbone (3). Les échanges gazeux se produisent grâce à des gradients de pression, c’est-à-dire à des différences pression de gaz dans les poumons et le sang (Reece et autres, 2012). Ces gaz respiratoires (CO2 & O2) sont transportés par les globules rouges contenant dans le sang (Reece et autres, 2012). Ce dernier contient aussi des cellules des globules blancs plus les plaquettes sanguines, sa température est de 37.5 °C, et a un PH entre 7.35 et 7.45 (Reece et autres, 2012). Le PH sanguin idéale chez l’homme doit se situer entre les deux valeurs mentionnées donc 7.40 pour que le corps soit en équilibre (Les enseignants de biologie, 2020). De plus, des organes sensoriels situés dans le cerveau, dans l’aorte et dans les carotides permettent de réguler le flux sanguin et décèlent les taux d’oxygène et de dioxyde de carbone (Rebecca Dezube et autres, 2019). Les influx nerveux déclenchent des contractions musculaires sur le diaphragme et les muscles intercostaux et le corps suit le taux d’O2 et le PH sanguin qui est le reflet de la quantité de CO2 par des chimio-récepteurs qui sont des molécules chimiques (Reece et autres, 2012).

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