Synthèse sur la délinquance routière

                              Synthèse sur la délinquance routière

Introduction:

  Le code de la route est de plus en plus sévère. Pourtant, les automobilistes français restes superficiel des dangers présents sur la route, en rapport avec les propos de Jean Michel Normand dans le titre de son article « Les automobilistes désespèrent la prévention routière »publié dans Le Monde, en mai 1999. Jean Jacques Delfour confirme ses propos en exposant dans l’intitulé de son article « La délinquance routière, soupape sociale », publié dans libération en juillet 2001 et Anne Ricou, vient renforcer ces dires en montrant que la vitesse au volant peut devenir une addiction, dans le titre de son article « Pierre, accro à la vitesse », publié dans le magazine Phosphore en Octobre 2001. Enfin une publicité de sécurité routière nommée « juste », publié en octobre 2007 viendra étayer ces publications.

  Nous constaterons que les routes sont dangereuses puis nous allons étudier les causes et les conséquences de ces dangers.

Développement:

 Selon Jean Jacques Delfour, la route est un « espace social » dirigé par l’émancipation des règles normales. Jean Michel Normand pour affirmer ceci nous donne des chiffres 8437 morts sur les routes françaises en 1998, ce dernier explique que 80%  des conducteurs s’estime bien conduire et que 60%  estime que leurs conduite ne se répercute  par sur le fait d’avoir un accident. Ces chiffres sont confirmé par A. Ricou qui nous raconte que: « Pierre pense maîtriser son véhicule » même à 200 km/h .

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  Face à ce bilan qui attriste, il faut comprendre pourquoi les automobilistes français on adopté un comportement de se genre. Effectivement les automobilistes sont convaincu que les responsabilités viennent d’ailleurs, comme précise Jean Michel Normand que les automobilistes français ceux débarrassent de leur responsabilité, par ailleurs Jean Jacques Delfour affirme que sur la route c’est:« la loi de la jungle ». C’est prouvé par ailleurs dans la publicité de sécurité routière avec l’euphémisme qui nous y est décrit « Vous rouliez juste un peu vite, vous l’avez juste un peu tué », ce qui montre que le conducteur ce permet d’affranchir les règles de sécurité. A. Ricou  démontre qu’il existe des stages des sensibilisations et de sécurité routière pour décourager le mauvais conducteur d’abroger le code de la route mais après coup l’automobiliste reprend ses mauvaises habitudes. La délinquance routière se manifeste chez le français banal, sans histoire comme le fait remarquer Jean Jacques Delfour car ces délits sont invisibles donc peu facile a sanctionner. Celle-ci est « facile  d’accès » et bien souvent impunie, en conséquence répété par l’automobiliste.

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