Relations internationales.

Relations internationales

Chapitre introductif :

-droit international se définit comme l’ensemble de règle juridique régissant les relations entre sujet de droit de nationalités différentes.                                                                                                                               –droit international public généralement défini comme l’ensemble des normes et institutions destinées à régir la société internationale.                                                                                                                                                –droit international privé s’applique dans le cadre international mais qui concerne les rapports entre les personnes privées. Le droit international public entretient des droits internationaux privés en particulier dans le domaine économique. Il s’adresse principalement aux Etats et par extension au groupe fonction d’un certain nombre d’entre eux doté de personnalité autonome c’est-à-dire les organisations international intergouvernemental.                                                                                               Le droit international public est le droit applicable aux systèmes international qui reste principalement une société d’Etat ou d’organisation interétatique.                                                                                                  –relations internationales doivent être distingué d’autres relations interétatique et relations transnationales (sont englobé par les relations ……). Les relations internationales pas que factuel.                            Remarque : Paradoxalement, les relations internationales ne sont pas l’étude des relations entre les nations au contraire cette expression a été synonyme de relation interétatique. Mais les relations internationales  ne peuvent plus être, se définir et doivent couvrir les relations transnationales : des relations extra étatiques don passe par les Etats.   Les  relations internationales concernent les « institutions internationales » avec cette expression on comprend l’idée d’ordre que l’on tente de donner aux relations se réalisant sur la scène internationale. Etymologie : une société correspond à une association qui regroupe des membres d’une collectivité et chaque société connait une organisation interne propre contenue dans un périmètre prédéfini. En parlant donc de la « société internationale » c’est-à-dire universel ou globale on veut le distinguer de l’état de nature anarchique en tant donc à signifier qu’il y a bien une société. Donc des relations et des liens entre les Etats mais également des intérêts communs et des organes qui les font appliquer. Initialement, la société internationale s’entendait en tant que société des seuls Etats …… connaissant des degrés de développement différent coexistant sans nécessairement entretenir de relation voir même se connaitre. 16ème siècle, avec le développement de l’Etat moderne lorsque les premières nations  européennes  ouvrent l’air des grandes découvertes que le système moderne prend forme avec ses caractéristiques et contradiction. Puis la naissance des premières institutions distinctes la société internationale devient la société des acteurs internationaux étatiques et non étatique.

Section 1 : courant doctrinaux et relations internationales

Le premier courant est le courant réaliste (le plus ancien) ensuite celui de l’interdépendance et enfin le courant qui met en avant l’impérialisme et la domination.

Paragraphe 1 : le courant réaliste et néoréaliste

A-L’approche réaliste des relations internationales

1-Thucydide

Origine de ce courant mélange philosophie et histoire. Remonter jusqu’à Thucydide (460-395) historien grec, Histoire de la guerre du Péloponnèse une analyse résonné le conflit entre Athènes et Sparte. Etudie sur les relations internationales envisagées sous l’angle de l’affrontement des souverainetés.

2-Thomas Hobbes (1588-1679)

Inspiré ce courant avec le Léviathan (1651). En bref, les hommes sont en proie à des passions qui les pousse à entrer constamment en conflit entre eux (la rivalité, la méfiance et la fierté). Cette situation est celle que vivent les hommes dans l’état de nature qui précède la vie en société constitué en étant …  Selon Hobbes pour mettre fin à ce conflit perpétuel il faut s’en remettre à un souverain tout puissant indivisible et irrésistible c’est-à-dire l’état. Sur la scène internationale, les états prennent la place des individus et reste dans leur propre Etat de nature donc chez Hobbes les relations entre les états sont marqués par l’indépendance et la suspicion.

B-Le réalisme moderne

1-Hans Joachim Morgenthau (1904-1980)

Père fondateur du réalisme moderne, il soutient que la société en général et le gouvernement par des lois objectives qui ont leurs racines dans la nature humaine. Pour lui, l’homme est guidé dans son comportement à l’égard d’autrui par un désir de domination.   Ce désir est à la base de la dynamique de la politique qu’elle soit national ou international. La politique internationale est ainsi une lutte pour la puissance et donc dans cette logique le but des relations internationales et d’augmenter cette puissance.

2-Raymond Aron (1905-1983)

Il met quant à lui l’accent sur la particularité de la politique internationale. Pour lui, les  relations internationales ne sont pas régit dans une logique hiérarchique, la logique est celle des rapports de puissance entre les différents états dans un système international anarchique. Dans son ouvrage de 1962 paix et guerre entre les nations il souligne que  les « relations internationales comportent par essence l’alternative de la guerre et de la paix ». Il prend pour exemple la guerre froide. Le système international a pour premier caractéristique de configurer les rapports de force entre les états.

C-le néoréalisme

L’approche néoréalisme de Kenneth Waltz soutient que les états sont liés par un réseau de relation qui constitue le système international qui va leur imposer ses contraintes. Dans son ouvrage de 1975, il considère cependant que l’environnement international est anarchique. Mais une anarchie conçue comme un système de concurrence entre des Etats qui envisage le recours à la force sous l’angle qui cout-avantage la grande différence avec les auteurs purement réaliste  résiste en ce que pour Waltz l’objet principal des relations internationales  n’est  pas la recherche de la puissance mais celle de la sécurité pour cela  l’état ne peut compter que sur lui-même (self help) alors que l’inégalité prime. Ce constitue alors des équilibres de puissance  qui stabilise le système international.

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