Maldives infectieuses pédiatrie
Cours : Maldives infectieuses pédiatrie. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Marx.m • 9 Août 2016 • Cours • 1 173 Mots (5 Pages) • 448 Vues
INTRODUCTION.
Au 17e siècle, la littérature éprouve une série de changements qui visent à contrôler les excès vécus au 16e siècle. Les écrivains cherchent avec leurs œuvres à plaire au peuple et à l’instruire. Pour cela, ils utilisent des personnages avec un gros défaut qui sont ridiculisés par d’autres plus intelligents.
Molière, un des meilleurs représentants comiques de l’époque, crée Le Malade imaginaire. Une œuvre dans laquelle il décrit son personnage principal, Argan, comme une personne naïf, qui prend décisions arbitraires en fonction à ses caprices, et d’autre parte Beralde, frère d’Argan, qui est décrit comme un personne plus calme et réfléchi, qui conseille à Argan en ce qui concerne sa santé et qui est défend continuellement sa nièce pour que son frère accepte ce qui lui procure son bien-être.
Dans un premier temps l’auteur, par le biais, de Béralde le frère d’Argan ; essai de démontrer à ce dernier que la maladie dépend souvent d’un état psychologique. Béralde lui affirme que les médecins abusent de la naïveté des gens pour leurs profits : « C’est une marque de faiblesse humaine, et non pas de la vérité de leur art.»(p.188) Beralde emploi ici la négation de manière à ce qu’Argan comprenne que les médecins profite de la crédulité des gens du
commun; et ce d’une façon pécuniaire. Cet art qu’il qualifie précédemment de « spécieux babil » Dans un même ordre d’idée Béralde compare son point de vue qu’en à l’infaillibilité de la médecine : «C’est qu’il y en a parmi eux qui sont eux-mêmes dans l’erreur populaire, dont ils profitent, et d’autres qui en profitent sans y être.» (p.189) La comparaison employée dans cette citation vise à faire comprendre à Argan que ce soit une erreur ou non la médecine s’enrichie. Argan doit donc savoir que les diagnostiques émis par son médecin sont peut-être erronés et que son art lui est très onéreux.
Dans un second ordre d’idées, Béralde fait appelle au calme d’Argan. Par exemple, Berald questionne Argan sur ses intentions: « Mais le mari qu’elle doit prendre doit-il être, mon frère, ou pour elle ou pour vous? » (page 184) Dans cette citation, Bérald utilise l’apostrophe pour s’adresser à Argan d’une façon plus chaleureuse et familiale, mais avec respect. Ensuite, il questionne, de façon insistante, son frère sur la véritable valeur du mariage et que bien que c’est sa fille qui sera mariée, c’est à elle de choisir avec qui elle va se fiancer. Par la suite, Béralde suggère à Argan de tenir compte des besoins de sa fille : « (…) il ne vous faut pas suivre aveuglément la passion qui vous emporte, et qu’on doit, sur cette matière, s’accommoder un peu à l’inclination d’une fille, puisque c’est pour toute la vie, et que de là dépend tout le bonheur d’un mariage.» (page 196) Dans la première partie de la citation, on constate que Béralde est en désaccord avec son frère face à la décision qu’Argan a prise à l’égard du mariage de sa fille. Puis, il utilise un adverbe de manière « aveuglement » pour souligner l’obstination d’Argan. De plus, Béralde qui veut défendre les intérêts de sa nièce, insiste sur l’importance de tenir compte du sentiment d’Angélique. De même, il précise l’importance de l’engagement et il lui rappelle que sa décision affectera le destin de sa fille.
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