Limites morales de l'humour
Résumé : Limites morales de l'humour. Recherche parmi 301 000+ dissertationsPar angeljeromegina • 29 Avril 2020 • Résumé • 400 Mots (2 Pages) • 702 Vues
Jusqu’où peut aller l’humour ?
Introduction :
L’opinion ne met pas tous les humours sur le même plan : certains sont sans significations profondes, libres, d’autres sont plus lourds, importants. Le problème philosophique se pose de savoir comment on peut déterminer la gravité d’une faute « d’humour ».
Partie 1 : le rire et ses conséquences
Arguments à développer :
la gravité d’un acte se définit par l’importance des conséquences qu’il implique : conséquences fâcheuses, dangereuses, mauvaises.
Il y a des humours qui n’ont pas de conséquences morales
Le manquement aux règles morales : le mauvais humour
Un homme à l’humour sage est supérieur à l’ignorant sur le plan moral
Partie 2 : de l’hétéronomie à l’autonomie morale
Idée 1 : le rire comme écart
on peut mesurer la faute grave d’un humour par l’importance de l’écart qui le sépare des normes morales d’une société
la maîtrise du jugement moral n’est pas immédiatement donnée, mais acquise : il y a du même coup évolution du jugement moral
idée 2 : l’évolution du jugement moral dans l’existence d’un homme
entre 8 et 10 la morale est hétéronome : on soumet notre jugement moral quand on rie à autre chose que nous (« c’est pas de ma faute, c’est drôle c’est lui qui m’a fait rire »)
vers 10 ans la morale est de plus en plus autonome et juge l’acte sur l’intention et tient compte de la responsabilité subjective de l’auteur (jean Piaget)
partie 3 : le rire comme exception
déontologie/ devoir être
l’humour et sa quête sont tellement vagues et variables qu’on ne peut en tirer des règles qui s’imposent à tous les hommes
parfois je cherche mois à faire mon devoir qu’à satisfaire un certain égoïsme : difficulté de tirer une morale de l’humour
il ne faut pas être dépourvu pour autant de sensibilité, de sentiments… il ne faut pas se laisser assombrir
des forces nous déterminent ou pourraient nous déterminer et excluent la manifestation de notre liberté
un acte n’a de valeur morale qu’avoir la cause dans la volonté libre de l’homme
l’humour n’est il pas le reflet d’une réalité ?
il ne faut pas que l’humour surpasse cependant le respect , qui est le sentiment moral particulier que donne la conscience de l’obligation morale
toutes les fautes d’humour ont donc la même gravité
conclusion :
chercher à déterminer une limite à l’humour conduit à supposer un être libre et responsable
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