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Lettre contre "J'accuse" de Emile Zola

Lettre type : Lettre contre "J'accuse" de Emile Zola. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Octobre 2019  •  Lettre type  •  1 665 Mots (7 Pages)  •  578 Vues

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Paris, le 15 janvier 1898

Monsieur Jacques Ferolis

Journaliste de l’action française

Monsieur Zola,

J’ai lu il y a deux jours de cela votre lettre adressée à notre cher président monsieur Felix Faure en rapport avec « L’affaire Dreyfus ». Autant vous dire, cher confrère, que vous m’avez déçu.

Premièrement, vous dites affirmer que l’Etat Major n’a pas de preuves pour dénoncer Dreyfus, mais ou sont les vôtres pour en dire autant ? Pour dire qu’il n’y a qu’une seule pièce « ridicule », alors que vous n’en avez pas la moindre idée. De plus, vous avez la modestie et l’égaux en vous croyant supérieur de dénoncer cette pièce, je cite « de toute ma puissance », mais pour qui vous prenez vous ? Un romancier perdu qui prend part à des affaires qui ne le concernent pour avoir du succès ?

Enfin, vous avez l’audace de comparer un affaire de la plus haute importance à une histoire de femmes et de tromperie des plus stupides. C’est un affaire importante et c’est pourquoi vous n’avez pas à vous en mêler. Pour finir, vous prenez toujours la défense des plus pauvres, le cas de ce traître de Dreyfus qui n’est pas à peindre, vos opinions sont donc à remettre en cause.

Jacques Ferolis

Paris, le 15 janvier 1898

Monsieur Jacques Ferolis

Journaliste de l’action française

Monsieur Zola,

J’ai lu il y a deux jours de cela votre lettre adressée à notre cher président monsieur Felix Faure en rapport avec « L’affaire Dreyfus ». Autant vous dire, cher confrère, que vous m’avez déçu.

Premièrement, vous dites affirmer que l’Etat Major n’a pas de preuves pour dénoncer Dreyfus, mais ou sont les vôtres pour en dire autant ? Pour dire qu’il n’y a qu’une seule pièce « ridicule », alors que vous n’en avez pas la moindre idée. De plus, vous avez la modestie et l’égaux en vous croyant supérieur de dénoncer cette pièce, je cite « de toute ma puissance », mais pour qui vous prenez vous ? Un romancier perdu qui prend part à des affaires qui ne le concernent pour avoir du succès ?

Enfin, vous avez l’audace de comparer un affaire de la plus haute importance à une histoire de femmes et de tromperie des plus stupides. C’est un affaire importante et c’est pourquoi vous n’avez pas à vous en mêler. Pour finir, vous prenez toujours la défense des plus pauvres, le cas de ce traître de Dreyfus qui n’est pas à peindre, vos opinions sont donc à remettre en cause.

Jacques Ferolis

Paris, le 15 janvier 1898

Monsieur Jacques Ferolis

Journaliste de l’action française

Monsieur Zola,

J’ai lu il y a deux jours de cela votre lettre adressée à notre cher président monsieur Felix Faure en rapport avec « L’affaire Dreyfus ». Autant vous dire, cher confrère, que vous m’avez déçu.

Premièrement, vous dites affirmer que l’Etat Major n’a pas de preuves pour dénoncer Dreyfus, mais ou sont les vôtres pour en dire autant ? Pour dire qu’il n’y a qu’une seule pièce « ridicule », alors que vous n’en avez pas la moindre idée. De plus, vous avez la modestie et l’égaux en vous croyant supérieur de dénoncer cette pièce, je cite « de toute ma puissance », mais pour qui vous prenez vous ? Un romancier perdu qui prend part à des affaires qui ne le concernent pour avoir du succès ?

Enfin, vous avez l’audace de comparer un affaire de la plus haute importance à une histoire de femmes et de tromperie des plus stupides. C’est un affaire importante et c’est pourquoi vous n’avez pas à vous en mêler. Pour finir, vous prenez toujours la défense des plus pauvres, le cas de ce traître de Dreyfus qui n’est pas à peindre, vos opinions sont donc à remettre en cause.

Jacques Ferolis

Paris, le 15 janvier 1898

Monsieur Jacques Ferolis

Journaliste de l’action française

Monsieur Zola,

J’ai lu il y a deux jours de cela votre lettre adressée à notre cher président monsieur Felix Faure en rapport avec « L’affaire Dreyfus ». Autant vous dire, cher confrère, que vous m’avez déçu.

Premièrement, vous dites affirmer que l’Etat Major n’a pas de preuves pour dénoncer Dreyfus, mais ou sont les vôtres pour en dire autant ? Pour dire qu’il n’y a qu’une seule pièce « ridicule », alors que vous n’en avez pas la moindre idée. De plus, vous avez la modestie et l’égaux en vous croyant supérieur de dénoncer cette pièce, je cite « de toute ma puissance », mais pour qui vous prenez vous ? Un romancier perdu qui prend part à des affaires qui ne le concernent pour avoir du succès ?

Enfin, vous avez l’audace de comparer un affaire de la plus haute importance à une histoire de femmes et de tromperie des plus stupides. C’est un affaire importante et c’est pourquoi vous n’avez pas à vous en mêler. Pour finir, vous prenez toujours la défense des plus pauvres, le cas de ce traître de Dreyfus qui n’est pas à peindre, vos opinions sont donc à remettre en cause.

Jacques Ferolis

Paris,

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