LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Les mammifères

Étude de cas : Les mammifères. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Septembre 2013  •  Étude de cas  •  550 Mots (3 Pages)  •  658 Vues

Page 1 sur 3

Chez les mammifères

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !

Un baculum (os pénien) de morse mesurant 59 cm de long.

La plupart des marsupiaux, sauf les deux espèces les plus grandes des kangourous, ont un pénis bifurqué, c’est-à-dire qu’il se divise en deux colonnes indépendantes1.

Le plus gros pénis du règne animal appartient à la baleine bleue. Celui-ci peut atteindre 2,4 m2.

Chez certains mammifères euthériens (à l'exclusion des monotrèmes et des marsupiaux), le pénis est renforcé par le baculum (mot latin signifiant « canne »), ou os pénien. Il est absent chez les humains, mais présent chez presque tous les autres primates, comme le gorille et le chimpanzé. Cet os facilite le rapport sexuel.

Le pénis est homologue au clitoris femelle, puisque les deux se développent à partir de la même structure embryonnaire.

Le pénis (et le clitoris) des mammifères ont une fonction importante dans le comportement de reproduction. Les récepteurs sensoriels péniens (et clitoridiens) transmettent les sensations de la copulation au niveau du système de récompense3, ce qui favorise le développement de la motivation sexuelle4.

Chez les hominidés, au cours de l’évolution, la sexualité s'est progressivement dissociée des cycles hormonaux5,6, 90 % des gènes des récepteurs aux phéromones ont été altérés7,8 et le réflexe sexuel de la lordose n'est plus fonctionnel. En raison de ces modifications du système nerveux, les informations sensorielles péniennes (et clitoridiennes) deviennent plus importantes. On observe que les activités sexuelles des hominidés changent : elles ne sont plus limitées à la copulation9,10, mais se développent autour de la stimulation du pénis (ou du clitoris). Le comportement de reproduction a évolué vers un comportement érotique où le pénis joue un rôle majeur11,note 1.

Chez l’Homme

Le pénis humain.

Article détaillé : Pénis humain.

Le pénis humain se constitue de trois couches de tissu :

les deux corps caverneux (corpora cavernosa penis), et

le corps spongieux (corpus spongiosum penis) sous eux.

Le bout distal du corps spongieux élargi et côniforme constitue le gland du pénis (glans penis). Le gland est entouré par le prépuce (preputium), un pli de peau qui peut se retirer pour découvrir le gland. Le prépuce s’attache au-dessous du gland par une bande de peau, le frein.

L’urètre (urethra), qui constitue la dernière partie du tractus urinaire, traverse le corps spongieux ; sa sortie, le méat urétral (meatus urethralis), se trouve au bout du gland. L’urètre sert également à la miction et à l’éjaculation.

Le pénis est capable d’érection lors de stimulation sexuelle, ce qui permet le coït. L’éjaculation accompagne la plupart du temps l’orgasme.

L’anatomie du pénis humain se distingue de celle du pénis de la plupart des autres mammifères par l’absence de baculum,

...

Télécharger au format  txt (3.7 Kb)   pdf (63.8 Kb)   docx (9.4 Kb)  
Voir 2 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com