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Les maladies cardiovasculaires

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Par   •  13 Janvier 2020  •  Cours  •  570 Mots (3 Pages)  •  454 Vues

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Un bon état cardio-vasculaire est indispensable à la pratique d’un exercice physique.

  1. L’effort physique et le rythme cardiaque d’une personne sont liés. En effet, lors d’un effort physique, notre corps demande plus de dioxygène et de nutriments et produit en plus grande quantité des déchets et du dioxyde de carbone.

Or c’est par le sang que circulent tous les nutriments ainsi que les gaz dans le corps. Le sang doit donc être véhiculé plus rapidement dans le corps lors d’efforts physiques. Le cœur, qui permet la circulation sanguine, est, de ce fait, plus sollicité.

Le tableau ci-contre montre que lorsque le corps est au repos, le débit cardiaque est de 5L/min et lorsque le corps pratique un effort physique, le débit cardiaque passe à 25L/min. Le débit a donc quintuplé.

Le nombre de litre de sang envoyé pour les muscles lorsque le corps est au repos est de 1L/min et lorsque le corps est en activité physique le débit est de 21L/min. Le débit a donc également augmenté considérablement.

  1. Les risques de maladie cardiovasculaire sont plus importants chez les adultes de plus de quarante ans, qui n'ont pratiqué aucun sport depuis plusieurs années et qui décident de s'y remettre du jour au lendemain, sans préparation. 

Les sports les plus éprouvants pour le cœur sont le squash, le tennis, le football et même la course à pied, en particulier s'ils sont pratiqués en plein soleil.

Le fait de fumer peut provoquer une hypotension artérielle importante, qui peut déclencher un accident cardiaque.

Lorsque le corps n’est pas habitué à émettre un effort intensif que ce soit sur une courte durée ou une longue durée, cela peut causer des accidents cardio-vasculaires.

De plus lorsqu’une personne ne pratique pas de sport, les risques de maladie cardio-vasculaire augmentent.

A cela, s’ajoute un risque particulier pour les personnes nées d’un malformation cardiaque ou vasculaire. Etroitesse des vaisseaux ou finesse de leurs parois, valvules ou parois du cœur trop fines, ventricules dont la capacité est trop faible sont autant de facteurs qui peuvent amener à un risque cardiaque lors d’un effort violent.

  1. Comme le montre le tableau ci-contre, la pratique régulière d’un sport à aussi un effet sur la capacité du cœur. Un homme faisant du sport régulièrement aura un meilleur état cardio-vasculaire qu’un homme qui ne pratique pas de sport ou très rarement.

Le tableau ci-contre nous montre que, pour un homme sportif, le volume de sang éjecté à chaque battement cardiaque est de 150 ml.

C’est supérieur à celui d’un homme sédentaire, c’est-à-dire qui ne pratique pas d’activité physique, dont le débit cardiaque est de 130 ml par battement.

De plus, le nombre de battement par minute lors d’un effort est supérieur pour un homme sportif par rapport à un homme sédentaire. Ce qui permet un effort plus intensif.

Par exemple la marche rapide, le jogging, la natation, le vélo, la danse permettent une augmentation du rythme cardiaque maximum durant un effort violent.

D’après plusieurs études, une activité physique pratiquée de manière modérée (minimum 30 minutes par séance, 5 jours/semaine) permettrait d’augmenter le diamètre des artères.

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