La ferme des hibiscus et son environnement
Étude de cas : La ferme des hibiscus et son environnement. Recherche parmi 302 000+ dissertationsPar diloks saveyou • 17 Novembre 2020 • Étude de cas • 1 504 Mots (7 Pages) • 23 710 Vues
DOSSIER 1 : LA FERME DES HIBISCUS ET SON ENVIRONNEMENT
1) L’entreprise évolue au sein d’un macro-environnement composé de différents acteurs économiques. La politique économique en fait partie car elle influence directement et indirectement le bien-être d’une entreprise. Ici, dans le cas de Le Ferme Hibiscus, on peut recenser plusieurs facteurs de politique économiques qui influence directement sont environnement. On peut commencer par la politique agricole commune de l’UE, qui après l’arrêt des quotas laitiers a mis en place des subventions afin d’inciter les producteurs à produire moins de lait et ainsi faire remonter les prix. Mais aussi les aides de l’UE via FEADER et les régions pour promouvoir le secteur biologique qui connait une très forte demande depuis ces dernières années. La fixation du taux directeur de la BCE à 0% a aussi pour but d’inciter les banques à prêter de l’argent aux entreprises du secteur.
2)
Environnement | Menaces | Opportunités |
Environnement économique | - Difficulté d’approvisionnement en lait bio (pénurie) - Un marché à forte concurrence car la demande est importante | - Le marché du bio est en pleine expansion, la demande ne cesse de s’accroitre -Le taux directeur de la BCE est fixé à 0% pour permettre aux entreprises et aux producteurs de se lancer dans le secteur |
Environnement socio-culturel |
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3) Les environnements politique, socio-culturelle, et écologique sont très favorables au lancement d’une exploitation biologique, via le biais des subventions européenne et régionale mais aussi grâce aux prêts à taux 0% de la BCE. Qui plus est, la demande est très importante dans ce secteur et le chiffre d’affaire de ce secteur a été multiplié par 3,5 en moins de 10 ans. L’entreprise La Ferme Hibiscus pourrait lancer sa propre exploitation laitière en parallèle de ses activités et ainsi lancé une toute nouvelle gamme de produits qui serait exclusivement fabriquer par eux, ce qui réduirait l’empreinte carbone, dans le respects des normes, et y apposer un label.
DOSSIER 2 : L’INNOVATION AU CŒUR DES DECISIONS DE M. CHAROLAIS
4) L’innovation est synonyme de nouveauté et de découverte. Une innovation peut aussi bien concerner un produit comme un procédé ou une technique de production, par exemple le taylorisme ou bien l’IPhone. Pour une entreprise l’innovation peut présenter des avantages comme des risques, en matière d’avantage, on peut retrouver les suivants :
- Lui permettre d’anticipé des futures turbulences du marché
- Accéder à un marché fermer ou redynamiser un marché saturé
- Réduire les couts et/ou augmenté sa qualité
Pour ce qui est des risques, les plus courants sont ceux-là :
-Tombé dans l’impasse technologique (n’aboutit jamais)
-La clientèle n’adhère pas pour des raisons diverses (prix trop élevé, utilité, qualité…)
-La concurrence sort le même produit en cassant les prix (investissement perdu, vente à perte = pas de rentabilité)
5) M. Charolais a pour projet de déposer « Mousse de yaourt » comme marque commerciale. Un de ses collaborateurs lui fait part de ses doutes et sous-entend que ce nom de marque ne peut pas être en conformité avec la règlementation en matière.
La dénomination « Mousse de yaourt » est-elle acceptable pour la nouvelle gamme de produits ?
Selon l’article L. 711-2 du code de la propriété intellectuelle prévoit que sont pourvu de caractère distinctif les signes ou dénominations pouvant servir à désigner une caractéristique du produit ou du service et notamment l’espèce, la qualité, la quantité, la destination, la valeur, la provenance géographique, l’époque de production du bien ou de la prestation de service.
Donc en vertu de l’article L. 711-2 du code de la propriété intellectuelle, la dénomination « Mousse au yaourt » ne peut pas être utiliser en tant que marque commerciale, car il décrit une espèce (yaourt) et une qualité (ici l’état mousseux).
6) L’état a parfois une fonction régalienne dans l’économie, en tentant d’influencer les acteurs économiques à faire prévaloir l’intérêt collectif plutôt que l’intérêt privé, et ce, par le biais de subventions, de taxes et parfois de quota. Quand il s’agit de politique de l’état, il faut savoir distinguer la politique structurelle de la politique conjecturelle. La première étant une politique mené sur le long-terme, la seconde à court terme. Les politiques industrielles et d’innovation sont quant à elle bien souvent des politiques structurelles et elle vise à l’amélioration de son fonctionnement.
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