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La Laiterie Rive-Sud

Étude de cas : La Laiterie Rive-Sud. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  4 Février 2018  •  Étude de cas  •  1 288 Mots (6 Pages)  •  575 Vues

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Identification du problème

Le problème principal dans le cas de la laiterie Rive-Sud, est un problème de communication entre le directeur M. Jerry Jones et les chauffeurs-livreurs. Le style de gestion du directeur est l’une des causes pour laquelle il y a moins de motivation au travail pour les employés. Le style de gestion n’est pas apprécié, M. Jones est trop autoritaire et les employés se sentent surveillés constamment. Cela créé un manque de motivation et un sentiment de méfiance. Il devrait faire confiance à ses employés, leur donner plus de responsabilités et les laisser faire preuve d’initiative. De plus, nous constatons un problème de logistique dans l’entreprise, le système d’inventaire devrait avoir une système de contrôle plus adéquat. Cela apporterait un inventaire plus juste, éviterait de possibles vols et une perte d’argent pour l’entreprise.

Identification des causes du problème

Tout d’abord, il faut se rappeller que « le comportement organisationnel, vise l’amélioration du rendement des individus, des groupes et des organisations, ainsi que l’amélioration de la qualité de vie professionnelle. » Il est à noter que dans ce cas, le directeur de la laiterie de la Rive-Sud n’a pas la vision en matière de comportement organisationnel car aucune de ses actions vise à l’amélioration de la qualité de vie de ses employés, plus particulièrement, les chauffeurs-livreurs. M. Jones travail depuis longtemps dans l’entreprise et son style de gestion ne tient pas compte des nouveaux paradigmes du comportement organisationnel, « qui sont parmis les principales forces de changement et faire des choix qui tiennent pleinement compte des tendances actuelles dans les milieux de travail. » plus spécifiquement : l’importance du capital humain, la disparition de la direction centralisée, l’accent mis sur le travail d’équipe, le respect des nouvelles attentes de la main-d’œuvre et l’influence envahissante des technologies de l’informations et des communications. Dans ce cas, nous constatons que les connaissances, l’expérience et la motivation ne sont pas présent. Le directeur de la laiterie ne tient pas compte de ces aspets car certains chauffeurs sont à l’emploi de la laiterie depuis 15 ans et M. Jones, continue de leur dire quoi faire et comment le faire. De plus, sa gestion traditionnelle, son manque de travail en équipe et son manque de collaboration entre pairs sont également absent. Il vérifie constamment ce que les chauffeurs font, contrôle leur inventaire et leur laisse jamais le droit de s’exprimer.

Le gestionnaire a comme rôle d’aider ses employés afin d’obtenir de meilleurs résultats dans les délais opportuns, conformément à des normes de qualité et qui soit personnellement satisfaisant. « L’atteinte des ces objectifs passe davantage par l’encadrement et le soutien que par les fonctions traditionnelles de direction et de contrôle. » Avec cette définition d’un bon gestionnaire, nous pouvons voir que M. Jones a d’énormes lacunes en gestion. D’abord, il y a l’efficacité fonctionnelle, c’est-à-dire le rendement quantitatif et le rendement qualitatif d’une unité de travail dont il est responsable et la satisfaction professionnelle de ses employés. Selon ce qu’à affirmer un des anciens employés de M. Jones, « nous n’étions pas motivés à faire mieux » car « ce que l’on faisait, n’était jamais correct ». Par conséquent, nous pouvons mentionner que le directeur de la laiterie M. Jones, n’a pas les critères d’un gestionnaire efficace et ne possède pas les quatres fonctions du gestionnaire. Premièrement le gestionnaire doit planifier les activités du départemennt sous sa charge. Il doit fixer des objectifs et déterminer les actions à entreprendre pour les atteindre. Deuxièmement, organiser, répartir les tâches à chacun de ses employés et distribuer les ressources en fonction des objectifs. Ensuite, diriger, communiquer avec le personnel, afin de le motiver à faire du bon travail et de maintenir de bonnes relations interpersonnelles. Et pour finir, contrôler, veiller au bon déroulement du plan d’action en faisant le suivi du rendement et en prenant,

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