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L'histoire de ma vie, Emile Chambrion

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Par   •  14 Janvier 2013  •  Commentaire de texte  •  5 069 Mots (21 Pages)  •  759 Vues

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L'histoire de ma vie

de Émile Chambiron

Chapitre 1 : ma naissance mouvementé

Ces le 1er Janvier 2000 que je vis le jour, ma mère était un chien de race habitant chez des personnes assez riche mais qui avaient la plus mauvaise réputation de tout les environs et mon père un bâtard, chien de fermier dont je ne connaissaient rien de plus. Quand les maîtres de ma mère nous vus moi et mon frère, la colère fut telle que cette dernière mourut sous les coups du maître de la maison,un homme robuste qui pouvait battre un ours pendant un duel. La première idée qui vint à sa femme, une sorcière, fut de nous noyer sans remord mais elle préférait nous savoir sous les barreaux que sous l'eau. La SPA seraient notre nouveau domicile avec les chiens qui hurlaient tout les jours des qu'un de ces humains passaient avec des clients. La nourriture était immangeable et la propreté était tel que l'on marchait dans ces propres excréments, des chiens nous quittaient chaque jour, soit acheté, soit retrouvé soit emmené à la morgue pour animaux.

Une semaine était passée, la sorcière revint nous voir avec le sourire au lèvre de s’apercevoir que nous n'étions pas vendus. Le pire ces que pour nous rendre encore plus méchants à son égard, elle acheta une chienne qui servirait à remplacer notre pauvre mère qui avait fait la seul erreur d'avoir eu de l'amour pour notre père.

Des semaines repassèrent encore et encore à voir des amis partir et d'autre arrivé. Puis un jour une famille passa à la SPA et demanda des chiens d'une certaines catégories qui étaient jeunes, bâtard et qui étaient là depuis bel lurette. Moi et mon frère furent choisit accompagner de quatre autre chiens, c'étaient notre première sortis de la cage depuis 1 mois et demis. Ont avaient du mal à marcher mais en même tant ont étaient tellement heureux de pouvoir se dégourdirent les jambes et d'avoir une chance de sortir de se trous à rat. Les enfants avaient le droit de choisir deux chiens, ce fut moi et mon frère, mais... Quand le bonheur s'installe, le malheur n'est pas loin. La sorcière arriva nous prîmes par la pot du cou et courut voir le vendeur, on l'entendait crier à l'autre bout de la rue:  « Imbécile, je vous avez pourtant payé chère pour que ces deux chiots voient toute leurs vient se passer ici !!! »

Elle prit les clés de notre cage et nous remis dedans.

On crut bien ne jamais quitter cet boutique jusqu'au jour ou un gars d'une cinquantaine d'année qui semblaient vivre à la campagne y entra avec son chien qui semblaient être intéressé par nous deux. C'était lui aussi un bâtard qui avaient notre tête et notre morphologie encré en lui, le fermier lui fit son choix par rapport à l'avis de son chien. Cette fois, c'était la bonne, on allait avoir notre famille mais qui sans le savoir été plus proche que ce que l'on croyait. Ont du monter dans une sorte de char qui fessaient un bruit de bombardement. Moi qui pensaient que sa pouvaient cracher des flammes un char et non du bruit qui pouvait rendre sourd comme les personnes âgées. Sa puait à des kilomètre à la ronde cette machine, mais bon, ma vie pouvait enfin se dérouler comme je l’espérait : avec une famille, un toit et encore mieux, j'avais de quoi me remettre en forme en ce qui concerne les champs que je vais découvrir. Hélas, comme je le disais déjà : Quand le bonheur s'installe, le malheur n'est pas loin.

Chapitre 2 : Du bonheur passe le malheur

En arrivant, il y avait des champs énormes qui étaient recouverts de quelque chose que le fermier appelé blé. Il y avait une grange qui me donnaient l'envie de la découvrir et de m'amuser. Quand à la maison elle n'était guère plus propre que la SPA car dedans, les poules se promené laissant derrière elles leurs excréments, leurs plumes et leurs œufs qui s'ouvrait et laisser derrière eux des tas de nouvelle poules qui à leur tour mettaient le bazar dans la pauvre maison s'en défense. On descendit du char tous ensemble et commença à se dégourdirent les jambes, mais à se moment là le fermier nous cria dessus en nous avertissant que qui conque aller dans le blé, uriner dans la maison se prendrait une belle raclé. Puis avec un peu plus de calme nous montra nos appartements qui se trouvaient en dessous de l'escalier dans un endroit plein de toile d'araignée et des cafards eux en profitaient pour faire le nid dans notre pelage. A par rament le vieux chien était habitué et commençât à nous parler de lui, il se nommé Bill comme notre père, il avait 8ans et nous avouât finalement qu'il avait des fils comme nous mais qu'il les avait perdus il y a bien longtemps. Il se mit à pleurer et partis se mettre dans un coin, ont ne le revus pas de la soirée... Quand la nuit tombas ce fut leur d'aller se coucher dans notre bidonville serré comme des rats pour éviter les monstres. Finalement je changea de place pour aller dormir à la belle étoile, j'entendais les grenouilles de la mare et je voyais les lucioles éclairer les champs de blé. Je finis par m'endormir épuisé par cet journée pleine de rebondissement et heureux d'avoir une famille chez qui je pourrais rester longtemps avec un peu plus de bonheur qu'à la SPA. Au petit matin, une sorte de grosse poule se mit a crie mais d'une manière... Horrible et sans chance d'arriver au genoux de Johnny Haliday. Je me trouvais à côté de Bill et une poule qui dormait, Le fermier lui était déjà debout mais ne se trouvait pas dans la maison. Bill m’expliqua que tout les matins ils allaient au villages essayer de trouver de l’engrais pour faire pousser son blé plus rapidement pour que les bénéfices augmente et que la vie à la ferme soit meilleur. Pendant ce temps ont devaient faire sortir les poules de la maison et regrouper les œufs pour ensuite les réchauffés, le plus dure était de nettoyer la maison et d'enlever toutes les plumes et les excréments qui pouvaient se trouver dans toute les pièces et recoin de la maison. Je devais ramasser ma 28 plumes quand tout d'un coup, je tombas net paralysé, je sentais mais muscle qui se tendait et de la bave qui sortaient de ma bouche. Sa dura quelque minutes et sa s’arrêta, mon frère et Bill se trouvaient autours de moi en me demandant

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