L'adaptation des entreprises à l'économie numérique

A) L’évolution des modèles économiques de l’entreprise

1- Tout d’abord un business model représentes de façon synthétique les aspects majeurs d’une entreprise.

Un business model traditionnel propose un parcours simple et à sens unique qui démarre de la production et passe par la distribution avec ensuite une communication marketing pour enfin arriver aux consommateurs. Alors qu’un business model en plateforme fonctionne à double sens et en continue en s’alimentant avec les différents acteurs qui le constitue et inversement.

2-Le business model en plateforme de l’App store prend donc appui sur un écosystème qui ici est formé de développeurs d’application. Un écosystème est donc l’ensemble des partenaires digitaux sur lesquels s’appuie l’entreprise en utilisant leurs ressources sans en être propriétaire.

Apple a donc créé une plateforme où des développeurs d’applications proposent leurs créations.

C’est donc une création de valeur à double sens car les développeurs profitent de la notoriété d’Apple et en contrepartie Apple récupère 30% du chiffre d’affaires en prélevant une commission aux développeurs.

3- Les petites et moyennes entreprises ne sont pas assez digitalisées parallèlement aux autres entreprises qui se sont développées plus rapidement.

Elles ont surement moins de compétences numériques, donc elles devront proposer des formations dans le domaine de la digitalisation et il faut également financer le matériel numérique.

4- Tout d’abord, la compétitivité peut être défini comme un ensemble de facteurs essentiels à une réussite économique à long terme.

C’est donc un enjeu de compétitivité national car aujourd’hui la population se digitalise de plus en plus et les achats via les sites internet ne font qu’augmenter. L’objectif serait donc que toutes les entreprises arrivent à se digitaliser rapidement pour pouvoir réunir tous les facteurs afin d’assurer la réussite de l’économie nationale à long terme. Cela permettrait donc aux PME de bien se placer face à la concurrence et de s’adapter au changement de comportement des clients.

5- Le rôle de la Banque publique d’investissement est de financer les entreprises afin de leurs permettre de suivre les évolutions actuelles, et de soutenir leur croissance. Elle peut donc les aider dès la création de l’entreprise et les accompagner dans des projets d’innovation en proposant des crédits.

6- Freemium = ce modèle permet d’attirer les utilisateurs en proposant un accès gratuit (mais non complet) et pour avoir un usage sans restriction l’utilisateur devra adhérer à une formule payante.

Free to play = version complète gratuite mais possibilité de payer pour extras (+)

Yield management = service payant mais dont les prix ne sont pas constants, ils évoluent selon le stock qui reste, selon le temps qui reste avant son utilisation : le but est de faire varier les prix en fonction de la demande

Alors pour les différences on peut voir que pour le modèle Freemium et free to play il y a un accès gratuit et pour le yield management c’est un service payant mais dont les prix peuvent varier en fonction de la demande.

Donc la différence entre le modèle Freemium et free to play est que dans le cas du free to play il y a la possibilité d’avoir une version complète totalement gratuite avec la possibilité de payer quelques extras alors que pour le Freemium il y a en effet une partie gratuite mais pour avoir la version complète il faudra que l’utilisateur paye.

7 – Le yield management apportent plusieurs avantages aux entreprises. En effet, il donne une liberté sur la fixation des prix qui est calculé en fonction de la demande en temps réel.

Donc le but est de maximiser le CA et de ne pas se retrouver avec des pertes et invendus. Il permet donc aux entreprises de fixer un prix de vente qui pourra assurer au mieux les coûts du produit ou service.

8- Candy Crush: free to play, car il est possible de finir le jeu, ou d’accéder à la version complète sans payer.

Google Drive : Freemium car il propose 15 go d’espace de stockage gratuit mais pour en avoir plus il faut payer.

SNCF : Yield management, car ils varient les prix selon la demande

Mario : Free to play

Spotify : Freemium, car il y a un accès gratuit, l’application n’est pas payante mais pour pouvoir accéder aux musiques et au téléchargement il faut payer un abonnement

Airfrance : Yield management, car ils varient les prix selon la demande, et le temps qu’il reste avant la date d’utilisation.

Dropbox : Freemium, car l’accès aux fichiers est gratuit mais possibilité de payé pour avoir plus

...