Exemple de rédaction

Le petit Louis jouait au jeu du ballon comme tous ses amis chaque après-midi. Il était brun avec des cheveux bouclés, ses yeux bruns reflétaient sa sincérité . Mais il était généreux et rêveur plus que tout et pensait sans cesse au métier qu'il allait exercer plus tard. Peut-être deviendrait-il un grand joueur de ballon, un écrivain célèbre ou bien ferait-il le même métier que ses parents. Ses plus grandes passions étaient la lecture et le jeu du ballon. Son équipe de football était très réputée dans le quartier, on pouvait même dire qu'elle était la plus forte du secteur. Soudain, l'équipe de la Horde, la plus populaire vinrent et défièrent Louis et ses amis. Le match était serré. L'équipe adverse était très rapide, peu d'opportunités laissèrent Louis et ses adversaires de marquer un but. C'est vers l'aboutissement du match que p'tit Louis marqua un merveilleux but. Toute son équipe l'acclamèrent et le félicitèrent, cependant l'équipe d'en face fut furieuse et commença à entourer le jeune petit garçon. Le petit joueur fut effrayé, apeuré, paniqué puis fut frappé par une rafale de coups tandis que ses  amis apeurés partirent rentrer chez eux. Les cris de douleurs devinrent de plus en plus tonitruant, les sons qu'il entendit commencèrent à devenir abyssal, sa vue commença à se dégrader, son corps ne lui obéit plus. Tout à coup, les vilains fuirent et laissèrent place à un médecin,l'ami de la mère de Louis et elle-même. Elle se demandait ce qui était arrivé à son ange. Le blessé se croyait monter au paradis, délivrait de l'enfer qu'il venait de subir. Il ouvra les yeux mais ne voyait rien alors qu'il pouvait assurer que sa mère était proche de lui en train de sangloter. C'est à ce moment-là qu'il découvrit qu'il était aveugle.

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      -Maman, je suis aveugle, je ne vois plus rien!>> criait Louis qui éclata en sanglot dont les yeux étaient blancs.

Louis pensait à ce moment-là à sa misérable destinée. Ses rêves furent brisés et son envie de marquer l'histoire s'estompa. Ne plus pouvoir lire un seul des fables de la Fontaine lui brisa le cœur. Les aveugles n'appartiennent à l'histoire.

Sa mère éprouvait de la pitié et de la compassion pour son enfant, sa gentillesse l'avait mené au désespoir.

    <> disait le médecin impuissant face à ce désastre.

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