Examen final philo 2 cegep a distance

La liberté est un sujet débattu depuis plusieurs centaines d’années, plusieurs philosophes ont tenter de bien définir le sujet, que soit Descartes, Aristote Marx ou Sartre, chacun d’eux ont une pensé différente sur la question. La liberté est la possibilité qu’a une personne de s’exprimer, d’agir ou de penser selon ses croyances, ses valeurs et même ces besoins. Tout cela sans avoir peur des conséquences qu’elles pourraient subir suite à ces actions. Ce qui nous mène à se poser la question Suivante, suite à la mise en contexte lise auparavant : L’être humain est-il libre ou n’a-t-il que l’illusion de la liberté? Dans ce texte nous allons aborder les aspects suivants: la stabilité monétaire et l’inconscience, ainsi de présenter la penser que les philosophes Marx et Sartre ont sur chacun des aspects mentionner et mon opinion personnelle. 

 Premièrement, pour Marx, les conditions sociales et travail sont souvent étroitement liés ce qui sont donc des obstacles à la liberté. Ils forment une sorte de contrainte pour protéger et préserver les établissements des bourgeois. L'histoire est prévisible pour Marx, ce qui ne laisse évidemment pas beaucoup de place à la liberté. Dans le cas d’Eugène, cela en étais presque prévisible car le fais qu’il soit dans un milieu défavoriser et que ses parents se sont même retrouvés sans emploie, cela le force à devoir aller travailler et ainsi le privé de sa liberté de choix d’aller à l’école. Pour Marx, la liberté d’Eugène est inexistante car il est contraint de devoir aller travailler pour subvenir au besoin de sa famille.Tandis que pour Sartre, l’être humain nait libre et possède le contrôle de son existence. Bien sur les autres ont une influencent sur les choix qu’il a a faire, mais le choix revient toujours à l’humain lui-même. Comme par exemple Eugene avait emplement le choix et les moyens de trouver une meilleur façon de faire de l’argent à la place de faire quelque chose d’illlegal et risquer le peu de liberté qu’il possedait. Contrairement à Marx, Sartre  croit que être libre et choisir ne veut pas dire que cela arriveras de la maniere que l’on souhaite. Pour lui, la liberté est en effet une responsabilité, et c’est justement ce qui en fait un atout de rareter. Pour ma part je trouve que le fait d’être née dans un milieu défavoriser a dejà une atteinte à la liberté, car tu n’auras pas les moyens de faire se que tu veux dans la vie et d’aller dans l’école de ton choix tandis que si hériditairement tu naies dans une famille aisée, ta liberté ce voit dans un sens amélioré car tu aura plus de choix. 

Deuxièmement, notre penser inconsciente joue un rôle énorme dans notre prise de décision ce qui, logiquement, a un impact sur notre vision de la liberté sans vraiment s'en rendre compte. Selon Marx, l'inconscient ne peut pas être présenté comme une simple hypothèse, puis être prouvé scientifiquement et logiquement par le fait que nous nous réalisons des années plus tard. Dans les premières années de notre existence, nous sommes complètement dépendants de l'environnement extérieur de notre entourage, par exemple, un bébé ne peut pas gérer cela tout seul sans parent, alors la liberté semble illusoire car dans les premières années de notre existence, nous sommes au pouvoir de l'inconscient et les effets de l'inconscient restent à l'âge adulte. Donc Eugene est évidemment encore inconsciemment sous l’influence de son entourage et de ses parents, il ne serait jamais embarqué dans des activités illégales pour aider ses parents. Dans le cas de Sartre, sa penser est que l’inconscient ne joue pas un rôle dans les décisions des humains et qu’ils choisissent leurs actions par ce qu’il désire, ce qui veux dire que Eugène a choisi par lui-même de vendre les produits illégaux et que c’est de sa faute si la police l’a arrêté. Mon opinion est que l’inconscient de Eugène la pousser à accepter l’offre de Charlie car le fait que sa famille a besoin d’argent rapidement à fais en sorte que son subconscient n’a pas pris le temps de réfléchir aux conséquences que cela pourrait amener s'il se faisait prendre. 

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