Eduardo Leal, exposé

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Eduardo leal est un photographe portugais travaillant sur des documentaires. Il photographie principalement en Amérique latine et aux caraïbes. Diplômé en journalisme à l' « escola superior de journalismo in Porto (école supérieure de journalisme de Porto) ». Il a un master en photojournalisme et photographies documentaires du London College of communication et a été assisté le XXVIIIe « Eddie Adams Workshop » (Eddie Adams était un photographe qui a photographié la célèbre photographie du chef de police Nguyen Ngoc Loan assassinant un prisonnier et qui lui valut un prix nobel, mais qui nuit à la réputation de ce même chef de police qui vengeait sa famille et son meilleur ami du criminel qui les avait assassinés.)son travail a été publié dans de nombreux journaux et sites web tel que Time.com

la photo ci-dessus a été prise en 2014, en bolivie. Elle montre un arbre dans lequel se sont bloqués des sacs plastiques. Elle fait partie d'un album de 15 photographies, montrant toutes les mêmes arbres au feuillage plastique. La cause : les humains, qui ne savent pas jeter leurs sacs plastiques dans les poubelles et qui préfèrent les jeter dans la nature où ils finissent dans des arbres, ou bien avalées par des tortues, qui les prennent pour des méduses, leurs proies naturelles. Et cela s'applique pour tout les déchêts : certains animaux se retrouvent déformés car ils se sont retrouvés pris au piège dans du plastique.

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« Le plastique se trouve partout, des profondeurs marines jusqu'au pic de l'everest. Puisque la plupart des plastiques ne sont pas biodégradables, il peuvent rester des centaines d'années dans l'environnement. » Eduardo Leal

le plastique n'est pas un danger en soi, c'est l'utilisation qu'en fait l'homme qui est désastreuse. Il ne fait pas attention à où il jette ses déchets, et même pire, il le fait exprès. Certaines déchargent couvrent des dizaines de km². Par exemple, la décharge de Bordo Poniente, à Nezahualcoyotl au Mexique, qui accueuillait 70 millions de tonnes de déchets. Le site a été fermé, mais le gouvernement n'a même pas pris la peine d'évacuer les déchets et s'est contenté de tous les enterrer à l'endroit même où ils s'accumulaient. Ce n'était donc pas une action à but écologique mais uniquement pour débarrasser les déchets en surface et faire bonne figure. Pire, un huitième continent, entièrement formé de déchets, couvre une surface plus large encore que le Texas. Chaque année, plus de 10% des déchets plastiques produits par l'homme se retrouvent dans l'océan, et rejoignent ce continent, augmentant au fur et à mesure la masse de ce mastodonte qui a déjà atteint les 7 millions de tonnes de déchets plastiques.

La photo montre donc un avant-goût de ce que les feignants voire les fainéants humains font de pire. Cette image, et les 14 autres composant cet album sinistre, démontre que l'humain doit agir, ou l'environnement terrestre pourrait se retrouver extrêmement sale. De plus, avec le réchauffement climatique, nous sommes très proche d'un hypothétique scnéario de fin du monde où la terre deviendrait un désert aride, recouvert de sable, de terre, de métaux et de plastique. Nous devons sévèrement agir, ou bien ce que nous redoutons pourrait finir par se produire.

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