Chambre à soi / Virginia Woolf

Carnet de lecture sur

Une chambre à soi

Anthony LI

Biographie de l’auteur :

Virginia WOOLF est une romancière et essayiste anglaise. Elle est née à Londres le 25 Janvier 1882. Virginia était l’une des principaux écrivains modernistes du 20e siècle. En 1912, elle épousa Leonard WOOLF et en 1917, ils fondent une maison d’édition, la Hogarth Press, qui fera découvrir des romanciers français et russes comme Katherine Mansfield et Freud. L’histoire de la vie de Virginia WOOLF est indissociable de celle de ses œuvres. En 26 ans d’écriture, elle publie des romans et de nombreuses nouvelles. Victime de dépression chronique, elle met fin à ses jours le 28 Mars 1941. Elle laisse un nombre considérable d’essais inédits, une correspondance et un Journal, qui paraît après sa mort à l’initiative de son mari.

Structure de l’œuvre :

Chap 1 = incipit qui expose la thèse principale de l’autrice.

Chap 2 = la femme comme miroir flatteur de l’homme

Chap 3 = la condition de la femme au 16e siècle, obstacle pour les femmes d’écrire.

Chap 4 = les autrices de fiction du 16e au 19e et l’honnêteté des œuvres sur la condition des femmes

Chap 5 = les personnages féminins en littérature.

Chap 6 = Esprit bisexué des écrivains

Portraits des personnages principaux :

Narratrice : Mme Mary Beton, esprit critique sur les conditions de la femme pour écrire.

Thèmes Principaux :

-place des femmes dans la littérature : « Une fois de plus je cherchai « Femmes » […] un droit reconnu que riches et pauvres exerçaient sans vergogne. »

-place des femmes dans la société et leur condition : « Une femme doit avoir de l’argent et une chambre à soi si elle souhaite pouvoir écrire des histoires. » ;

-les femmes et le roman : « ... il est indispensable qu’une femme possède quelque argent et une chambre à soi si elle veut écrire une œuvre de fiction. »

Avis :

Je trouve amusant le passage où la narratrice nous lit les notes qu’elle a prise sur les femmes, page 44-45. C’est amusant de voir à quel point les hommes décrivent les femmes donc c’est pourquoi j’ai bien aimé ce passage.

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