Cas d'entreprise, Management NRC

Cas d’entreprise p. 60-61

I. Analyse de la situation de l’entreprise

1) M. Marc Simoncini est décrit avec du charisme et qui a une vision de l’entreprise bien à lui. Il décide de s’entourer des meilleurs peu importe leur caractère. Au contraire, M. Simoncini pense que les personnes de fort caractère sont indispensables pour le bon fonctionnement d’une entreprise. Il choisit des personnes au caractère opposé pour qu’ils puissent s’opposer à lui pour dit-il « faire le tri ». Considéré par les américains comme un entrepreneur, M. Simoncini est un leader mais aussi un manager de qualité qui emploie un style de direction dit participatif. En effet, il laisse à chacun la possibilité de s’exprimer, les décisions sont prises de façon collective.

II. Identification du problème de management

2) En effet, le style de direction participatif de M. Simoncini, son statut de manageur et son rôle de leader pourrait à long terme porter à confusion dans l’équipe.

Il s’emblerait que le PDG de Meetic soit à la foi un manager et un leadership. Ce qui n’est pas forcément un point négatif, mais qui peut en devenir un si la personne en question ne parvient pas à faire correctement la part des choses. C’est-à-dire, rester à l’écoute de ses employés et être capable de distinguer son état de leader et de manageur.

De plus si l’importance de l’entreprise ne cesse de croitre, son effectif humain augmentera lui aussi. Il est important que M. Simoncini prenne le temps de calculer les enjeux d’une telle situation et prenne les décisions qui s’imposeront.

III. Proposition de solutions

3) De manière générale, même si la combinaison de ces trois principes est une chose possible, il est préférable que le gérant d’une entreprise comme Meetic, en plein essor, prenne le moins de risque possible de compromettre l’entente de l’équipe. Avec un style de direction participatif, un rôle leader et de manager, Marc Simoncini doit penser à se protéger et à protéger son entreprise.

Premièrement, je pense qu’une trop bonne entente au sein d’un groupe de travail peut aussi lui nuire. Sauf si les limites sont tracées de façon exemplaire, il faut savoir faire la différence entre le travail et l’amitié.

Deuxièmement, il est vrai qu’avec l’augmentation du chiffre d’affaire de l’entreprise, et par déduction l’augmentation du nombre de salariés, le PDG devrait d’avantage déléguer s’il ne veut pas perdre son rôle de leader qui semble lui plaire.

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