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Le dossier documentaire dont je vais vous parler comprends deux documents, un article de presse (doc1) et un graphique (doc2). Dans un premier temps, je vais vous parler du document 1, puis dans un second temps je vous parlerais du document 2. L'objectif étant de vous montrer les points importants de ces deux documents.

Premièrement le document 1 est un article de presse écrit par Yossi Sheffi et publié dans « The Guardians », le 7 septembre 2018. Tout d'abord, l'objectif de Y.Sheffi est de nous montrer que les ONG ont totalement les moyens d'exercer une pression sur les marques et les entreprises. Il nous montre leurs impacts à travers deux faits marquants.

Le premier, est illustré par le Life en 1996, où l'on voit un garçon pakistanais coudre un ballon de foot Nike, pour lequel il va être très mal payé. Cette photographie nous fais réagir et nous interroge sur l'exploitation des enfants face au travail, dans le tiers monde, mais cela nous montre aussi que la main d’œuvre est beaucoup moins coûteuse, très bon marché.

Le deuxième est une parodie vidéo d'une publicité kitkat mise en ligne par GreenPeace en 2010. Cette ONG dénonce à travers cette parodie la destruction des habitats des orangs-outans mais également la déforestation de la forêt amazonienne, de par la composition du kitkat. En effet, le kitkat détient de l'huile de palme dans sa composition, de ce fait pour l'extraire il faut abattre des arbres. Greenpeace reproche donc à Nestlé (productrice de kit kat) d'acheter de l'huile de palme aux entreprises responsables de déforestation.

Comme vous pouvez l'imaginer tout cela n'est pas sans conséquences, effets. Effectivement, nous pouvons dégager deux conséquences majeures à ces deux faits.

Le premier étant que l'image de la marque peut être remise en question et les consommateurs ne sont pas sensibilisés au respect de l'étique de la marque, entreprise.

Le deuxième, étant comme je l'ai évoqué plus haut que les consommateurs exerce une pression sur Nestlé pour arrêter l'achat de l'huile de palme auprès des entreprises responsables de déforestation.

Deuxièmement, le document deux est un graphique représentant comment la Corée du Sud s'oriente vers un fonctionnement plus écologique et moins polluant en préconisant les énergies renouvelables.

En effet, nous pouvons constater qu'en 2017, les déchets sont présents de façon assez conséquent (26%) tandis qu'en 2030 ils ne seraient qu'une petite partie (6%). On arrive à baisser d'environ 20% les déchets en 2030.

Pour ce qui est de l'énergie solaire (38% en 2017) cela augmente d'un peu près 30% en 20 ans (57% en 2030).

En 2017, le vent est à 8%, il augmente très rapidement (34% entre 2018 et 2030) mais baisse d'environ 10% en 2030 (28%).

Enfin, nous pouvons voir que le bio et l'hydro évoluent quasiment de la même manière en 2017( bio → 16% ; hydro → 12%). Entre 2018 et 2030 nous sommes à 2% pour le bio et 1% pour l'hydro. En 2030, nous sommes à 5% pour le bio et 4% pour l'hydro.

En général, la population

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