Affaire d'interpellation

Theo

Interpellation

Ainsi de nombreuses équipes sont déployées pour l’arrêter. Grace a la  surveillance de tous les lieux que Guy Georges a l'habitude de fréquenter, il est interpellé le 26 mars 1998 à 12 h 45, au environ de la station de métro Blanche dans le 9e arrondissement de Paris et cela malgré une énorme erreur (la presse annonça son identité le jour même juste avant son arrestation, en sachant qu’il ne savait pas qu'il avait été identifié.).

Le 26 décembre 2000, Guy Georges tente de s'évader de la prison avec deux autres détenus en sciant les barreaux de sa cellule. Ce qui fut un échec sans conséquence pour lui.

Procès

Le 19 mars 2001, son procès commence au début il nie tous les meurtres, puis le 27 mars  il avoue lorsqu'il se trouve confronté à sa victime rescapée, Elisabeth Ortega il reconnaîtra sept meurtres et une agression7. Ces deux avocats, Alex Ursulet et Frédérique Pons, font de même en arrêtant de tous nier en bloc.

Condamnation

Le 5 avril 2001, Guy Georges est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté de 22 ans  jusqu'en 2020. Au vu des conditions très strictes et la nature des faits reprochés à Guy Georges, ainsi que la longueur de la période de leur commission, Aucune libération conditionnelle n'est possible actuellement.

Vie en prison

Depuis son incarcération à la maison centrale d'Ensisheim, il échange de nombreux courriers avec des femmes prisent de fascination as on égard comme Anne Gauthier mère d'une des victimes. Une étudiante en droit  tombera même sous son charme.

Après cette affaire, Élisabeth Guigou, ministre de la Justice obtient la mise en place d'un fichier regroupant les empreintes génétiques des déséquilibrés sexuels et personnes liées à des affaires de mœurs.

Pour finir plusieurs familles de victimes de Guy George créeront l'Association pour la protection contre les agressions et crimes sexuels afin de se soutenir, et d'aider d'autres familles de prédateurs sexuels.

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