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Molière un écrivain du 17 éme siècle

Étude de cas : Molière un écrivain du 17 éme siècle. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Mars 2016  •  Étude de cas  •  906 Mots (4 Pages)  •  693 Vues

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L’auteur de cet extrait se prénomme Molière un écrivain du 17 éme siècle qui est connu par ses nombreuses œuvres comme : « dom juan » ou même l’une des plus connues « le malade imaginaire ». Cet extrait est pris du livre George dandin , un livre qui raconte l’histoire d’un homme qui s’appel George dandin et qui est rendu cocu, par sa femme Angélique avec Clitandre. L’ histoire d’amour entre ses deux dernier  est bien sur possible grâce à l’aide des deux servant ,Claudine et Lubin, et l’homme n’a qu’une seul idée en tête prouver à ses beaux parents les Sotenville que leur fille le rend cocu. Mais à chaque fois sa  femme arrivait à trouver une ruse et retournait la situation à son avantage. Le passage étudié est celui  du moment où George dandin croit une nouvelle fois piège sa femme car il a apprit qu’elle était accompagné de Clitandre et qu’il se trouvait tout deux dans la chambre. C’est alors que le mari voulu le montré au Sotenville se qui allait une nouvelle fois se retourné contre lui. Maintenant nous allons voir comment Molière à fait pour que ce passage soit rendu comique.

Premièrement on voit se nouveau retournement de situation effectué par Angélique  qui invente une mascarade pour ne pas se faire prendre par son mari et ses parents qui ont été vu par Claudine. Elle prétend que Clitandre qui était avec elle, serait venu  une nouvelle fois lui faire la cour, « vous prenez la hardiesse de venir chez moi me rendre visite, de me dire que vous m’aimez », et cela marche car ses parents très dupe y croient et son avec leur fille. Une nouvelle fois, ils reprennent George dandin en lui disant qu’il devrait être heureux d’être le marie de leur fille et qu’elle est  fidèle et courageuse comme ses ancêtres : « mon gendre, que vous devez être ravi, et que cette aventure est pour vous pleine de douceurs ! Vous aviez un juste sujet de vous alarmer ; mais vos soupçon se trouvent dissipés le plus avantageusement du monde » Cette parti est faite d’un comique de situation, car juste avant que le père aie dit cette phrase,  suite au long discourt de angélique, sa femme le tapait de grand coup de bâton en fessant croire à ses parents  qu’elle tapait sur Clitandre, de façon à prouver son courage qu’elle n’à pas, car elle leur cache  cette liaison avec Clitandre.

Deuxièmement  on a le vocabulaire utilisé par Angélique qui se rapporte à son indignation et sa colère en vers Clitandre : «  mon dépit,…et me donnez parole de n’avoir aucune pensée de m’offenser,… et de me faire cent sots contes,… m’éloigner jamais de la vertu » cela fait parti du comique de parole. Mais on a aussi le champs lexical tenu par Claudine qui soutient sa maitresse dans cette histoire, pour humilier George dandin :  « frappez comme il faut » est une phrase dite par Claudine lorsque Angélique tapait sur George dandin « vous êtes trop heureux de l’avoir ,et vous devriez baiser les pas ou elle passe. »,  « c’est une femme qui mérite d’être adorée et vous ne la traitez pas comme vous devriez » .Celle-ci font partie des autres phrases dites par la servante qui continue à humilier  le mari victime de la ruse de la femme. Ceci montre bien ce comique que Molière a voulu mettre dans cet extrait qui est très marrant à la lecture mais malheureux pour se pauvre George dandin à qui une nouvelle ruse a été faite.

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