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La voiture électrique

TD : La voiture électrique. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Février 2018  •  TD  •  976 Mots (4 Pages)  •  488 Vues

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Introduction :

Le véhicule électrique n’est pas une idée nouvelle. Du XIXème à la fin du XXème siècle, divers modèles ont été expérimentés et ont tenté de rivaliser avec les véhicules thermiques. L’échec a été à chaque fois au rendez-vous, en raison du manque de capacité des batteries et donc de la faible autonomie de ces véhicules comparée à celle des véhicules thermiques. Cela a prouvé que la polyvalence et l’autonomie étaient au centre des enjeux du développement des véhicules.

Les véhicules propres sont en effet devenus un enjeu de société en raison de la montée en puissance des préoccupations environnementales, de l’inflation du prix des carburants fossiles.

Dans un contexte de forte croissance du marché automobile et d'une dépendance quasi-totale à une énergie fossile non renouvelable, l’industrie automobile est confrontée à un défi majeur : gagner en autonomie vis-à-vis du pétrole et limiter les émissions de CO 2 en mettant en œuvre des solutions innovantes. L'avenir est à l'optimisation du rendement des moteurs, à l'amélioration des carburants et au développement de carburants de substitution.

Ce qui nous amène à cette problématique…

L’innovation de la mobilité des transports sont -elle un bon moyen pour éviter l’usage de la voiture ?

Dans une première partie, je parlerai des nuisances entrainant l’utilisation des automobiles à moteur thermique. En 2éme partie, j’aborderai les raisons et les conséquences du développement de l’autopartage.  Pour finir, nous verrons les actions de l’état mis en place pour favoriser le développement durable des transports en commun et l’impact sur le comportement des agents économique.

Les Nuisances de l’utilisation des automobiles à moteurs thermiques.

La nuisance de l’air est dû aux moteurs à hydrocarbures qui émettent dans l’atmosphère une quantité de gaz polluants qui s’accroît au fur et à mesure de l’augmentation de la circulation automobile. Ces véhicules sont en outre une source importante de déchets très peu dégradables.

 Les automobiles consomment une partie importante de l’espace urbain à cause des nuisances sonores aussi qui affectée l’utilisations (pistes cyclables, quartier piétons, espaces verts, etc.) non utilisateurs de véhicules à moteur. Ces nuisances sont la plupart du temps présents dans les villes urbain.

les raisons et les conséquences du développement de l’autopartage.

La principale raison pour passer à l’autopartage est le coût de revient, moins élevé qu’une voiture individuelle. L’autopartage permet de réduire l’utilisation de la voiture, c’est est un outil efficace de lutte contre le trafic routier. Au regard de la diminution du nombre de voitures possédées par les ménages, chaque voiture d’autopartage remplace 9 voitures personnelles et libère 8 places de stationnement L’autopartage participe donc directement à la réduction du trafic, en diminuant le nombre de voitures en circulation. Il y contribue aussi indirectement, en libérant de l’espace de stationnement et en contribuant à raccourcir le temps passé par les automobilistes à chercher des places de parking en ville. Sur le plan collectif, réduire ce temps est un enjeu fort.

L’autopartage permettra de se séparer de sa voiture, L’inconvénient majeure c’est que cela amènera beaucoup plus de monde dans les transports en commun, cela coutera plus cher pour l’état, ils devront refaire toutes les infrastructures pour accueillir les personnes en (bus, métro...) exemple : (Le Grand Paris) l’autopartage n’est pas la solution à la suppression de la voiture.

Les actions de l’état mis en place pour favoriser le développement durable des transports en commun et l’impact sur le comportement des agents économique.

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