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COMMENTAIRE, BLAISE CENDRARS, « Une expérience combattante nouvelle et effroyable »

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Par   •  25 Janvier 2018  •  Commentaire d'oeuvre  •  922 Mots (4 Pages)  •  714 Vues

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COMMENTAIRE, BLAISE CENDRARS, « Une expérience combattante nouvelle et effroyable »

             

                La première guerre mondiale a lieu en juin 1914 déclencher par la mort de François-Ferdinand le 28 juin 1914 et se termine par la signature de l’armistice le 11 novembre en 1918. Ce document est un récit écrit par Blaise Cendrars écrit en 1918. Blaise Cendrars est un écrivain francophone (poète) né en 1887 et est mort en 1961. Guerre totale est un conflit qui nécessite de mobiliser toutes les ressources de l’Etat, sa population autant que l’économie, la politique et la justice. En quoi d’après ce document la première guerre mondiale est-elle une guerre totale ? Et en quoi est-ce une expérience combattante traumatisante ? Dans un premier temps nous allons voir qu’il s’agit d’une guerre totale et dans un deuxième temps que c’est une expérience traumatisante.

                 La première guerre mondiale est une guerre d’usure : la capacité des Etats à produire est le facteur principal de la victoire. Malgré la mobilisation des hommes sur le front, les gouvernements utilisent tout se qui est en leur possession, les hommes dans les usines ont été remplacé par les « munitionnettes », Blaise Cendrars le dit lui aussi « des femmes se crèvent dans les usines », mais il y a aussi les ouvriers « un peuple d’ouvriers trime à outrance au fond des mines. », ils possèdent également l’économie et n’hésitent pas à l’utiliser comme il le dit avec « la richesse d’un siècle de travail intensif. », vraiment tout les moyens sont utilisés, étant donné que Blaise nous dit que des dizaines de couteaux et des grosses bombes à la mélinite. Mais comme pour tout mal des gens en profite et donc les financiers s’enrichissent.

                  Comme je vous l’ai dit précédemment l’effort de guerre demande beaucoup de moyens et oblige donc les gouvernements à emprunter de l’argents aux autres gouvernements mais avant les gouvernements commence par convaincre les civils à participer à l’effort de guerre, notamment financièrement en les influençant à acheter des journaux, des films au cinéma ou à faire des dons grâce au bourrage de crâne, Blaise a écrit : « La foule des grandes villes se rue au ciné et s’arrache les journaux. », mais il y a plusieurs façons de participer à l’effort de guerre, comme les récoltent qui peuvent servir servir pour les combattants « Au fond des campagnes les paysans sèment et récoltent. ».

                 Il s’agit d’une expérience marquante car c’est la première fois que sa arrive et Blaise dans son texte nous décrit cette horreur : « Des âmes prient » pour aller jusqu’à prier cela signifie qu’ils ont peur de se qui arrive. Il nous dit aussi « Des chirurgiens opèrent » se qui montre que la guerre fait beaucoup de morts et de blessés, ainsi que « Des marraines écrivent des lettres », les marraines étaient des femmes qui écrivaient des lettres aux combattants pour leurs redonner l’espoir et la foi et pour les apaiser, s’il faut de l’espoir sa veut dire que c’est vraiment horrible puisqu’ils ont perdu tout espoir. Il nous le montre aussi par une énorme accumulation « mille millions d’individus m’ont consacré toute leur activité d’un jour, leur force, leur talent, leur science, leur intelligence, leurs habitudes, leurs sentiments, leur cœur. » pour nous montrer l’horreur avec la chute « et voilà qu’aujourd’hui j’ai le couteau à la main. », mais il nous le fait comprendre en faisant une référence directe à un anarchiste qui est à l’origine de nombreux braquages et meurtres « Bonnot ». Il fait une énorme accumulation d’armes et introduit le mot « démoniaque » qui définit le mal « la torpille, le canon, les mines, le feu, les gaz, les mitrailleuses, toutes la machineries anonymes, démoniaque, systématique et aveugle. ». Il utilise même la citation « œil pour œil, dents pour dents » qui ne signifie pas vengeance mais plutôt représailles mais pour des représailles il faut qu’il nous soit arrivé quelque chose de mal. Mais il le dit explicitement avec ces dernières phrases « j’ai agi. J’ai tué. » mais il nous dit que c’était un geste légitime, désespéré que tout le monde a : « Comme celui qui veut vivre ».

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