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La boxe est(elle le reflet de la violence ou est-ce un préjugé ?

Synthèse : La boxe est(elle le reflet de la violence ou est-ce un préjugé ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  5 Mai 2023  •  Synthèse  •  481 Mots (2 Pages)  •  257 Vues

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TEIXEIRA

Alexandre

Synthèse

 

    Comme le dit Christine Orban « Le premier ennemi à combattre est à l’intérieur de soi. Souvent c’est le seul. ». En effet la boxe est un sport de combat mais peut-être bien plus. Nous pouvons donc nous demander si la boxe est le reflet de la violence ou est-ce un préjugé ?

Pour répondre à cette problématique nous nous appuierons sur un corpus de quatre documents composés de trois extraits de roman et d’images tirées d’un film. Nous étudierons dans une première partie, la violence dans la boxe, puis nous aborderons dans une deuxième partie que la boxe est avant tout un sport.

    Comme le décrit Olivier Adams dans son roman « Poids léger » publié en 2002 « je suis un corps qui frappe et qui encaisse », cette phrase montre la violence dans ce sport, que le corps permet de donner et recevoir des coups. De plus, Aya Cissoko, dans son roman co-écrit avec Marie Desplechin intitulé « Danbé » paru en 2011, nous exprime la douleur que lui fait ressentir ce sport « J’ai mal et je résiste ». Pour continuer, Joyce Carol Oates écrit, dans son roman intitulé « De la boxe » sorti en 1987, « Cela revient à risquer, et parfois à atteindre, l’agonie ». En effet, cette dernière nous confirme que la boxe est inévitablement violente et peut-être dangereuse.

    Nous venons d’étudier dans cette première partie la violence dans la boxe. Nous allons maintenant montrer que la boxe est avant tout un sport.

    La boxe est un sport de précision, de concentration, technique, de jugement. Olivier Adams dans son roman « Poids léger » nous décrit les pensées et les actions du boxeur Antoine « j’exécute des foulées minuscules, des pas de danseur, mes coups sont précis » cela nous montre que ce n’est pas forcément la violence qui l’emporte mais la technique.

Par ailleurs, pour Aya Cissoko la boxe c’est « une histoire de moi à moi » comme elle l’affirme dans le roman intitulé « Danbé ». En effet, elle n’est pas là pour faire mal à l’autre, elle est là pour prouver à elle-même qu’elle est capable.

Comme je l’ai dit plus haut, la boxe est un sport de jugement et Jake la Motta a manqué de jugement lors de son combat face à Sugar Ray Robinson comme l’on peut voir sur les images tirées du film « Raging Bull » réalisé par Martin Scorsese en 1980. Ces images montrent bien que la violence n’est pas la meilleure solution dans un combat de boxe.

 

    A travers cette synthèse nous avons montré que la boxe pouvait être violente mais qu’elle reste avant tout un sport et que les pratiquants considèrent la boxe comme un défi contre soi plutôt qu’un combat contre un autre.

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