Analyse d'assortiment de chocolats
Fiche : Analyse d'assortiment de chocolats. Recherche parmi 303 000+ dissertationsPar Déo-gracias GANDAHO • 18 Octobre 2025 • Fiche • 556 Mots (3 Pages) • 10 Vues
ANALYSE D’ASSORTIMENT
Par manque de précision, nous allons considérer les données inscrites dans les tableaux comme des références permettant d’étudier la répartition des chocolats par type, par conditionnement et par marques.
La position de A sera comparée à ses concurrents directes (les supermarchés E, F et G) et les hypermarchés (B, C et D).
Répartition par types de chocolats`
Le supermarché A, compte 64 références pour les 4 type de chocolats.
On remarque qu’il mise énormément sur le chocolat au lait qui a lui seul représente 49 références, soit plus de 3/4 de l’offre.
En rapportant cela à ses concurrents directes (supermarché), A est largement au-dessus. Par rapport aux hypermarchés, elle est également en tête mais reste proche de B. Dans l’ensemble du marché le chocolat au lait représente environ 60 %.
En revanche, le chocolat noir est assez peu présent car c’est seulement 6 références. Mais en rapportant cela aux autres, il n’y pas une énorme différence comparativement au chocolat au lait.
En ce qui concerne les enrobés, ce n’est pas du tout l’élément sur lequel A mise. Le blanc est très bas, mais c’est le cas pour tout le monde.
On peut supposer que A est très orienté vers ce que la plupart de ses clients préfèrent avec une offre centrée sur le lait, mais il manque de diversité pour attirer des consommateurs qui préfèrent le noir ou des produits plus variés.
Répartition par conditionnement
Sur les différents formats considérés, A met surtout en avant les tablettes 200 g et les lots 3x100 g. Les tablettes 100 g sont beaucoup moins représentées.
Cela montre que l’enseigne cherche surtout à cibler les achats par des familles ou économiques dans le but d’en avoir pendant longtemps et pas une consommation immédiate.
Elle n’est pas très présente sur les achats plaisir ou impulsifs. A la longue, cela pourrait lui porter préjudice dans ce sens où les achats spontanés pour se faire sont fréquents surtout si elle se trouve dans une zone scolaire, industrielle ou commerciale (zone où la plupart aime grignoter à la pause).
L’offre est donc cohérente pour des gros achats mais peut paraître moins adaptée à des clients qui veulent tester ou acheter ponctuellement.
Répartition par marque
Côté marques, A donne une place très importante à Nestlé, Côte d’or, Suchard et Lindt qui, à elles quatre, représentent plus de la moitié de l’assortiment. Ce sont des marques connues, qui réalisent beaucoup de projet marketing (publicité) pour mettre en avant leur produit, ce qui rassure les clients.
On peut tout à fait comprendre ce choix de positionnement par A.
Cependant, Cemoi est un peu mis en retrait.
Par rapport à la distribution des autres enseignes (Leclerc, Carrefour, Auchan), A mets aussi beaucoup en avant ces produits-là. Ce qui peut se comprendre car ce sont des produits souvent pas trop cher et accessible au grand public.
Toutefois, il est important de préciser que A ne propose pas vraiment d’alternatives originales (bio, équitable ou locales par exemple).
CONCLUSION
En résumé, le supermarché A, a un assortiment qui correspond bien à une clientèle familiale et généraliste, avec beaucoup de lait et de grands formats. Mais par rapport à la concurrence, il manque d’équilibre : trop peu de noir, d’enrobés et de petits formats. De plus, il ne se démarque pas sur le segment premium (fait comme les autres). Cela peut le pénaliser face à des enseignes qui proposent une offre plus diversifiée.
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