Étude du livre des brèves amours éternelles de Makine

Premièrement, l’œuvre de Makine : le livre des brèves amours éternelles est constitué d’un monde où est prônée la réalité du régime politique. Tout d’abord, il y a le contrôle militaire qui dirige la société. « Un peu de militaires, afin que le peuple sache quelle puissance repose l’autorité du parti » p. 17 Cette extrait démontre l’effet que le contrôle militaire a sur le gens. Celui-ci fait preuve d’une grande autorité pour faire peur au peuple et aussi empêcher les gens de vouloir se révolter. En défendent le régime politique ils sont les seuls à pouvoir tout contrôlé. Ensuite, dans ce régime politique il y a de l’injustice fait auprès du peuple. Il y a l’antithèse « d’un homme qui crachait son sang dans un mouchoir de soie» qui démontre que la coexistence entre deux mondes est toujours le parti le plus fort qui remporte. L’antithèse du sang et de la soie, l’un représente le rouge d’une vie donnée en sacrifice au parti et la soie qui représente la douceur et la pureté. «Avec une intensité jamais éprouvée, je comprenais l’atroce injustice de la vie ou de l’Histoire ou peut-être de Dieu, enfin la cruauté de ce monde indifférent envers un homme qui crachait son sang dans un mouchoir de soie » p. 22 Ress a sacrifié toute sa vie pour défendre son peuple et malgré cela le régime politique remporte la guerre contre lui. L’injustice sera toujours présente car l’autorité remporte sur la pureté. Donc, le contrôle militaire et l’injustice font partie de la réalité du régime politique.

Deuxièmement, Le livre des brèves amours éternelles est constitué d’un monde où il y a de l’amour ce qui veut dire de la résistance au régime politique. Pour commencer, la paix démontre le moment présent ou il y a ni guerre ni contrôle militaire. L’hyperbole démontre cette paix, la caractérisation de la neige représente la pureté d’un monde sans guerre ou tous les gens sont en harmonie. «La neige, cette dernière neige de l’année, apporta l’apaisement, la nouvelle profondeur du regard, l’harmonie silencieuse de tout ce que nous voyions.» p. 23 Ress et le narrateur marche dehors dans la nature loin des tribunes et du défilé. ….. Pour finir, la beauté représente l’amour. Lorsque Ress croise une jolie femme il ne peut s’empêcher de la regarder. « Une jolie femme d’une quarantaine d’années, vêtue d’un manteau clair, tenant la main d’un garçonnet. (…) Je sentis une note de parfum, une amertume ténue en harmonie avec cette journée lumineuse et fraîche. » p. 19 et 20 L’auteur met l’emphase sur les brefs moments d’amour, peu importe le régime politique en place, avec sa douleur et sa violence, qui passe et change, qui mourra dans le futur. Ces instants lumineux simple et bénis sont éternels. La paix et la beauté sont deux résistances au parti politique qui forme ensemble l’amour.

Intro :

Au siècle de l’empire russe règne un régime politique ou il y a de très grandes inégalités entre les riches et les pauvres. Par contre, une partie du peuple se révoltent pour faire abolir cette inégalité et y instaurer le communisme. Dans les œuvres qui s’inscrivent du courant communisme on met de l’avant une société sans classes et une organisation sociale sans état. Andrei Makine (1957- ) écrit le roman

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