Analyse De Texte: l’interminable Ennui de la plaine (poème) de Paul Verlaine

Hiver Dans l’interminable … Dans l’interminable Ennui de la plaine, La neige incertaine Luit comme du sable. Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune, On croirait voir vivre Et mourir la lune. Comme des nuées Flottent gris les chênes Des forêts prochaines Parmi les buées. Le ciel est rosés, tapageurs et joufflus, Avec nos grands albums, hélas ! Que l'on n'a plus, Comme on croyait déjà posséder tout le globe ! Assis en rond, le soir, au coin de feu, par groupes, Image sur image, ainsi combien joyeux Nous feuilletions, voyant, la gloire dans les yeux, Passer de beaux dragons qui...nous rejoindra sous ses / paupières faciles. »(v. 33-34) Durant cette même période, Emil Nelligan aussi écrit sur la mort avec son poème Les Corbeau. Nous retrouvons des similitudes avec les deux poèmes à l’étude. Nelligan utilise le corbeau comme symbole du désespoir et de la mort. « Or cette proie échue...nous rejoindra sous ses / paupières faciles. »(v. 33-34) Durant cette même période, Emil Nelligan aussi écrit sur la mort avec son poème Les Corbeau. Nous retrouvons des similitudes avec les deux poèmes à l’étude. Nelligan utilise le corbeau comme symbole du désespoir et de la mort. « Or cette proie échue...

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